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L) Suite 12


En réalité, les gouvernements créent de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle les jugements entre en contradiction les uns avec les autres et amènent à des situations de blocages et d’égarement. Nombreux sont ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes qu'ils n’auraient sûrement pas acceptées si leur raison fonctionnait normalement. Le fait de porter un masque entretient un climat de terreur qui repose sur une menace invisible te imperceptible. Ce qui amplifie les angoisses, le stress et impacte directement le système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Or la peur n'empêche pas de mourir, elle n'empêche donc que de vivre (heureux, bien, au mieux). D'ailleurs par rapport à avant l'époque moderne où même les enfants mourraient souvent, cette peur et ce rejet de la mort et donc de Dieu est une inquiétante chose nouvelle vu les décisions absurdes que les gens acceptent, mais peu étonnante vu notre époque laïciste et wokiste de cancel culture.
L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme, le virus ou les pénuries, et les français l’ont accepté. Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens, et lorsqu’ils sont biaisés, apeurés ou plus tout à fait fonctionnels, c’est tous nos repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons alors dans une position d’extrême vulnérabilité voire de perdition, comme des baleines dépourvus de leur système d’écholocation. Puis nous perdons confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent, et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité. C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons aveuglément tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice. »
Ainsi la tyrannie financière mondiale recherchée par les élites globalistes perverses, synonyme de totalitarisme bancaire, oligarchique et sioniste prenant le pouvoir progressivement, doit être impérativement combattue, car elle mènera inévitablement à la dette asservissante synonyme d'esclavage moderne envers les peuples puis à la dépopulation ou/et au chaos. Par conséquent un retour profond du social et donc un sérieux changement d'idéologie politique doivent avoir lieu par par les faibles et honnêtes gens contre les riches corrompus puis par le peuple contre les autorités perverses. C'est à dire que sans réaction populaire forte, ce système tiendra tout par la dette et détiendra donc le pouvoir au détriment des politiciens, des peuples, des PME productrices et de la santé en général.
Article de Gilad Atzmon « La façade démocratique » : « Le jour de l’élection (états-unienne de 2020), d’innombrables commentateurs progressistes et libéraux dans tous les grands médias ont été assez stupides pour admettre que la bataille en jeu ne portait pas vraiment sur « Trump ou Biden » mais sur l’American way, et pour ainsi dire sur l’avenir, dont du discours public et de la vie publique aux États-Unis. Les progressistes et les libéraux étaient suffisamment confiants pour croire qu’avec près de 100 millions de bulletins de vote remis avant le jour des élections, les Américains avaient déjà donné un spectacle sans précédent de rejet de tout ce qui peut ressembler, même légèrement, à des « valeurs conservatrices ». Ils étaient convaincus que l’Amérique avait déjà fait son choix. Pour eux, je dois supposer que l’élection n’était qu’une formalité et que la bataille était déjà gagnée. Mais quelques heures plus tard, il est apparu que les enquêteurs les avaient une nouvelle fois complètement trompés. Les partisans de Trump ont refusé de s’évaporer. Ils se sont considérablement développés et se sont même étendus démographiquement dans certains territoires électoraux « inattendus » traditionnellement associés et acquis à la politique démocratique. La signification évidente de cette élection est que l’Amérique, comme la plupart des autres États occidentaux, est divisée en deux sociétés opposées qui ont très peu en commun. Ce qui est bien plus inquiétant, c’est le fait que les deux côtés de la division ne peuvent pas se tolérer l’un l’autre. Autant la gauche, les progressistes et les libéraux sont convaincus de la validité absolue de leur mode de pensée, au point qu’ils insistent pour les imposer par des mesures autoritaires et tyranniques, au moins autant de personnes n’y croient pas, n’embrayent nullement, ou/et rejettent farouchement ces valeurs. De nombreux Américains n’acceptent pas le schéma identitaire. Beaucoup d’Américains ne sont pas du tout convaincus que le genre ne soit pas binaire. Je suppose que le plus décevant et le plus inquiétant pour le Comité National Démocrate est le fait que des membres de « minorités diverses », comme les appellent les démocrates, ont changé de camp. Ils sont devenus de fervents partisans de Trump. Regardez par exemple le groupe fusionnel cubain qui chantait « Je vais voter pour Donald Trump. Ce qui est très facile à expliquer, car le Parti démocrate propose aux Noirs, aux homosexuels, aux Latinos et aux « minorités diverses » d’être marginalisés à jamais dans un amalgame d’« Autres unis » et pas d'américains unis. Alors que le GOP « Great Old Party, Le Génial Parti Expérimenté (républicain) » offre à ces personnes une intégration immédiate dans le royaume américain en tant que personnes ordinaires. Il suffit de se procurer une casquette de baseball rouge et de se joindre à son prochain rassemblement local. C’est cette unité existentielle la plus fondamentale qui était si vive jadis dans le discours révolutionnaire de gauche, mais qui s’est finalement matérialisée seulement sous la forme d’un tsunami populiste pour une résistance politique de droite. Dans le monde à l’envers dans lequel nous vivons, le Parti républicain est devenu le parti de la classe ouvrière américaine, car ce sont des gens qui se définissent par leur adhésion aux valeurs familiales, à l’église et au travail, et qui se considèrent comme les « Américains ». Le Parti démocrate, qui prétendait être la voix de ces travailleurs, s’est progressivement transformé en un conglomérat urbain identitaire de la gauche sociétale impie, c'est en un collectif de personnes croyant au à la construction personnelle ou sociale même contre-nature. Il s'agit de personnes qui insistent pour que quiconque puisse pouvoir se définir et s’identifier à n'importe quoi en ne pensant donc pas prioritairement à êtres unis par la patrie. Ces gens veulent être considérés même illégitimement « en tant que femme », « en tant qu’homosexuel », « en tant que trans », « en tant que Noir », « en tant qu'objet », « en tant que juif ». Nous avons pratiquement appris à nous battre les uns contre les autres au lieu de nous unir en un seul peuple. Au lieu d’éliminer les différences, nous avons construit de nouveaux murs de ghetto en soulignant et en célébrant chaque ligne de démarcation possible (blanc/noir, homme/femme, hétérosexuel/Lgbtq, etc.). Au lieu d’identifier Wall Street, la propagande médiatique et les géants de la technologie comme notre ennemi mondial féroce, ils sont en fait devenus les catalyseurs et les fournisseurs d’argent dans une guerre qui est souvent contre nous-mêmes. Dans le monde à l’envers dans lequel nous vivons, la gauche a fini par adopter l’aspect idéologique hitlérien le plus encombrant et le plus problématique : contrairement au fascisme italien qui adhérait au concept de « socialisme du peuple italien », ou au premier nazisme qui défendait l’idée de « l’égalité des germanophones », Hitler a insisté sur le « socialisme pour une seule race ». Hitler affirmait que la politique des gens est intrinsèque à leur classement biologique. Contrairement à la pensée traditionnelle de la gauche inclusive, axée sur les classes, la gauche contemporaine pousse les gens à s’identifier politiquement en termes biologique, c'est à dire « en tant que femme », « en tant qu’homosexuel », « en tant que trans », « en tant que Noir », « en tant que juif (car c'est d'abord une ethnie alors que les ashkénazes n'y appartiennent pas et que les chrétiens et les musulmans sont dans leurs confessions respectives par le choix) », etc.. Alors que le GOP se rapproche de plus en plus d’une politique de classe universelle (nationale). Le matin du 3 novembre, la presse libérale était prête à annoncer que la philosophie du « en tant que » avait gagné. Mais dans l’état actuel des choses, cette bataille entre le peuple des « en tant que tel » et les « Américains » pourrait dégénérer en un véritable conflit violent, car il n’y a personne en Amérique ou ailleurs qui sache comment unir la population dans un simple concept de peuple. Encore une fois, ce n’est pas vraiment un phénomène américain. La même division et l’absence d’une perspective d’unification politique sont actuellement apparentes dans tous les États occidentaux. Pour comprendre la politique des identités et son impact désastreux sur la société contemporaine, lisez donc mon ouvrage Being in Time... Trump ou Biden, la question n’est pas là. Il s’agit de l’opposition entre urbain et rural. Il s’agit d’un débat entre mondialistes et nationalistes. Il s’agit de Cosmopolitains contre Patriotes. (Il s'agit du capitalisme spéculatif contre le capitalisme productif. Il s'agit de la droite des valeurs contre la gauche sociétale.) Il s’agit de Tribal contre Universel. Il ne s’agit pas de démocrates contre républicains. Il s’agit des minorités contre les américains. Il s’agit des « en tant que tels » contre le peuple authentique. Il s’agit d’une « grande réinitialisation » contre un désir de grandeur. Il s’agit de Jérusalem contre Athènes. Nous sommes en train de revivre les derniers jours de la république de Weimar (pouvant amener à un quatrième Reich, possiblement celui de l'antéchrist). »
Les conservateurs et les modérés n’ont presque plus rien en commun avec la gauchisme politique ; les conservateurs veulent la liberté d’expression, le droit à l’autodéfense, le droit à des informations honnêtes et exactes, l’autonomie, la liberté économique, des frontières sûres et un petit gouvernement. Les gauchistes soutiennent la censure de masse, le désarmement, les fermetures d’entreprises, les mandats de verrouillage, les frontières ouvertes, la centralisation, l’État-nounou et la tyrannie. Il est peut-être temps de nous séparer, de construire les sociétés que nous voulons loin les uns des autres et de voir qui sera le plus épanoui.
Extrait de l'article « Élections de 2020 aux États-Unis : de la théorie du complot au fait de complot » de Andrew Korybko − Le 12 février 2021 − Source Oriental Review :
« Le magazine Time a reconnu dans un article que ce que l’auteur appelle lui-même une « conspiration », lancée par une « cabale bien connectée de gens puissants », « a fait en sorte que des États changent de système et de lois électoraux » et « ont réussi à faire pression sur les sociétés de médias sociaux », parmi d’autres actions visant à abattre Trump « démocratiquement ». La révélation de ces éléments constitue une tentative des Démocrates d’infléchir leur puissance narrative d’après-scrutin à l’encontre de leurs opposants, et de provoquer les plus instables d’entre eux à sur-réagir de manière violente, d’une manière qui pourrait être exploitée pour justifier leurs accusations et la phase suivante de leur « conspiration ». Après avoir réussi à ourdir ce que Nebojsa Malic, du journal RT, décrit à raison comme une révolution de couleur, et à remporter ce que l’auteur du présent article a décrit par le passé comme la guerre hybride terroriste contre l’Amérique, ils sont assez ivres de pouvoir pour passer à pleine vitesse et sans hésitation à l’étape suivante dans la poursuite de cet objectif. Les Démocrates ont pris la décision délibérée de faire arborer fièrement par l’un de leurs organes de communication les plus visibles ce qu’ils décrivent eux-mêmes comme une « conspiration » quant à une « cabale bien connectée de gens puissants » ourdie contre Trump. Cette action a été menée pour humilier et démoraliser leurs opposants politiques, et sans doute pour provoquer les éléments les plus instables et à risque, comme les plus radicaux pratiquants du culte QAnon, à une surréaction à base d’actions violentes, qui pourrait donc par la suite être exploitée comme justification de la phase suivante de leur « conspiration ». Plusieurs messages ont été envoyés : les Démocrates ont réussi à prendre le contrôle de toutes les institutions, et les utilisent désormais comme armes servant à supprimer politiquement leurs opposants, en pratiquant le « deux poids, deux mesures » ; cette révélation était bien connue depuis longtemps par toutes les parties, mais n’a été reconnue publiquement par les coupables que pour des raisons de calendrier stratégique ; et nul ne pourra jamais plus prendre pour argent comptant les affirmations des Démocrates et de leurs mandataires (institutions y comprises). En vérité, au moment où s’est refermée une guerre hybride contre les États-Unis, une autre ne fait que commencer. »
Ce type de guerre hybride parvient à l'affaiblissement puis donc à la soumission d'une nation au profit des puissances privées d'argent, à travers la promotion de l'athéisme, l'abrutissement télévisuel, le divertissement excessif de plus en plus infantile, le matérialisme, le progressisme, la destruction de la famille, la malbouffe, la pornographie, la suppression du service militaire qui apportait de la discipline, la démocratie perverse, l'immigration de masse, la privatisation à outrance, la fin de sa propre création monétaire, la disparition de ses frontières, l'endettement par l'usure, la désindustrialisation, la stagnation des salaires alors que tout augmente en particulier l'énergie et les loyers, la destruction de la classe moyenne et de la moyenne bourgeoisie, l'inflation, la disparition des acquis sociaux, la guerre, et les mesures sanitaires diminuant l’immunité collective et créant des problèmes psychologiques. En effet c’est l’élite globaliste oligarchique perverse qui porte les coups les plus durs à son ennemi que sont les peuples, on le voit avec la politique du 49-3, la stérilisation des Assemblées, la privatisation de l’exécutif, la mainmise sur les médias, la corruption endémique, la surpuissance de la Banque, la délocalisation, l'immigration de masse, le blocage des salaires, la hausse des loyers, les taxes nouvelles, l'éborgnement des gilets jaunes, l'oppression covidiste, les faveurs privilégiées envers l'Ukraine et Israël.
Or la lutte contre tout ce plan maléfique demande donc une intelligente victoire impérative du bien, dont pour éviter une possible guerre civile ou une troisième guerre mondiales, puisque c'est ce qu'entraîne inexorablement son pilier principal qui est la massive usure financière internationale. Heureusement que l'espoir dans ce sens est de mise en particulier à notre probable époque de fin des temps, car à travers l'Histoire c'est souvent le camp le moins pire qui a triomphé (bien que cela a parfois servi à atteindre une autre phase du pervers mondialisme), voire dans quelques cas le plus bon.
Dans ce sens les gilets jaunes voulant redonné le pouvoir au peuple ont laissé une très bonne trace indélébile en France et dans la mémoire de son peuple dont par leurs manifs massives sur les Champs-Élysées. En effet plutôt que de laisser au pouvoir les élites corrompues favorisant les riches, cela permettrait de beaucoup mieux gérer l'Etat avec des référendums d'initiative citoyenne comme en Suisse, par le droit des peuples de disposer d'eux-mêmes. Ceci prouvant au passage le sommet de l'absurdité de qualifier le mouvement populaire des gilets jaunes comme fasciste et antisémite, alors que c'est dans l'actuelle ploutocratie que l'autorité est très éloignée du peuple et apparaît plus comme fasciste au contraire de la démocratie directe des référendums populaires voulue par les gilets jaunes momentanément. Surtout que le bas de la pyramide sociale ayant une meilleure conception du bien commun que le haut aura une gestion beaucoup plus utile pour le peuple de centaines de milliards d'euros du budget de l'Etat souvent gaspillés ou servant des intérêts privés. Cependant après cette possible future défaite du pouvoir profond, ces référendums populaires devront être protégés de certaines mauvaises influences privées, extérieures ou de pays étrangers par un pouvoir fort comme un général patriote momentanément, un nouveau roi ou un président à vie suite à un conseil national de résistance puis de transition, car il gouvernera sincèrement pour les intérêts du peuple par exemple à travers la réindustrialisation, le retour à une banque nationale, la récupération de la création monétaire et une autonomie alimentaire. Surtout que la royauté lié au catholicisme a tenu mille ans en France, alors que la révolution française a amené douze changement de régime, donc la royauté doit évidemment être restaurée car il s'agit du système le plus stable, mais il faut lier cela avec une assemblée orientant en partie la mise en place des lois christiques et la liberté conservant évidemment la possibilité d'entreprendre. Le président de la République ne peut avoir d’avis sur tout, mais il doit avoir les meilleurs conseillers et penser les affaires étrangères et la Défense, la Police et la Justice (qui quand elle devient politique n'est plus la Justice), la Monnaie et les Impôts. C’est ce que l’on appelle les fonctions régaliennes. Actuellement, un dirigeant souverainiste devrait déjà repenser cet ensemble pour rétablir le contrat social, dont car les inégalités de patrimoine se sont considérablement accrues.
En effet au cours des dernières décennies, les classes moyennes ont fondu comme neige au soleil et une hyper classe sociale est apparue en prenant le pouvoir tyranniquement sur de nombreuses nations, puis s’est révélée à beaucoup à travers les éborgnements de nombreux manifestants Gilets jaunes.
L’homme le plus riche de France dispose même d’une fortune égale à ce qu’un smicard ne parvient pas à gagner brut en un million et demi d’années. Cet écart astronomique renvoie le pays à une organisation médiévale et rend impossible tout fonctionnement démocratique. Aucun des derniers candidats élus n’a présenté de vision juste du pays dont à travers d'intelligentes mesures sectorielles. Privée d’un président digne de ce nom depuis 20 ans voire plus malgré une élection tous les cinq ans, la France est à la dérive. C'est pourquoi il faut bien un dirigeant politique souverainiste dans la durée, car cela permet de fixer des projets plus longs et donc des objectifs nouveaux jusqu'à pouvoir même repenser l’architecture du système. Ce temps pourrait être au minimum de 15 ans voire plus, sauf si un RIC stoppe ses fonctions suites à de fréquentes ou trop graves malhonnêtetés anti-patriotiques.
Ainsi il est clair que l'Union Européenne pourrait alors plus favorablement tendre vers une Europe des nations (confédération européenne). Et si le patriotisme triomphe, chaque nation devra quitter la législation européenne mais préserver son utile marché commun, si nécessaire en conservant une monnaie commune après avoir rétablie les monnaies nationales échangeables contre de l'or (comme le demande le christianisme et l'islam) et en imposant des droits de douanes pour préserver les entreprises d'un pays. En effet le souverainisme dont d'un hégémon est lié à une monnaie reposant sur un actif concret, comme le dollar US oppressif est indexé et donc porté par le pétrole et de plus en plus seulement par la menace des porte-avions américains depuis qu'il n'est plus reposé sur l'or (représentant l'hégémonique puissance financière états-uniennes basée sur la confiance au complexe militaro-industriel américain et faisant vivre les industries des pays ainsi donc que leurs économies) et la Livre sterling oppressive était indexée sur le diamant (représentant l'ancien empire colonial anglais thalassocratique basé sur une flotte militaire supérieure en particulier navale contrôlant les principales voies commerciales maritimes). La grande utilisation industrielle et l'importance de la matière détermine aussi la valorisation de cette dernière, et quand un pays produit celle qui a le plus de valeur, il s'enrichit donc grandement, comme donc le prouvent l'or servant au commerce, le diamant servant au forage, le pétrole servant au déplacement, et bientôt le gaz, l'énergie nucléaire ou autre. Ainsi il est logique de baser la monnaie sur la ressource la plus répandue, la plus utile et la plus chère du moment économiquement, puis possiblement la baser sur la prochaine. Ainsi la monnaie basée sur un panier de répandues ressources assez chères principales économiquement semble aussi logiques.
C'est à dire que face à cette oppression dont aussi du privé par la BCE, le plus prioritaire est bien pour l'instant de reprendre le pouvoir de la création monétaire au niveau national, mais aussi pour se protéger du joug de la dette encore pire que l'abomination de l'usure selon les Prophètes Jésus (paix sur lui) et Mouhamed (SBDSL), car provenant de prêts à intérêts sans argent au départ, puisque créés ex-nihilo par les ordinateurs des banques. En effet la véritable création de richesse est logiquement liée à la valeur ajoutée, devant en plus être équitablement partagée pour équilibrer l'économie et le social. Dans ce sens, le minimum du partage pour un entrepreneur individuel correspond à la zakat obligatoire (2,5% sur plus de 3000 euros thésaurisés pendant un an) devant être donnée à l'Etat, ou à des pauvres, des faibles ou des associations humanitaires. A cette priorité absolue, il faut donc rajouter momentanément la nécessaire sortie de l'union européenne tant que cette dernière sera soumise à l'OTAN, car tel un dangereux virus, cette organisation répand l’agressivité pour avoir encore une raison d'être. Surtout que les pays la formant devront suivre honteusement la fin du droit international acté par les Etats-Unis lors de leur remise en cause de la résolution de l'ONU comme concernant leur position sur le Golan de la Syrie et leur soutien au Général Haftar en Lybie contre un gouvernement d'union nationale créé par l'ONU. De plus en restant dans l'OTAN, tout pays deviendra par conséquent coresponsable des perverses guerres économiques ou militaires des Etats-unis ne profitant qu'à eux, comme celles contre la Biélorussie, la Birmanie, le Burundi, la Corée du Nord (et Chine), la Fédération de Russie, l’Irak, le Liban, la Libye, le Nicaragua, la République arabe syrienne, la République bolivarienne du Venezuela, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, la République islamique d’Iran, la Serbie, la Somalie, le Soudan, le Soudan du Sud, l’Ukraine, le Yémen et le Zimbabwe. C’est une carte fort précise des conflits ou changements politiques conduits ces dernières années par le Pentagone assisté du département US du Trésor pour continuer toujours plus d'imposer le dollar, sauf que de plus en plus de pays se dédollarisent à travers la multipolarité proposée par l'axe sino-russe. Mais l'hégémonie du dollar demeure forte par sa liquidité répandue à travers le monde. A ce sujet il est intéressant de lire l'article « Multilatéralisme ou droit international ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Multilateralisme-ou-droit-international-57298.html
Concernant l'arrivée d'un régime fort en France et pour parvenir assurément et rapidement à toutes ces nécessités nationales dont donc un rétablissement d'une banque nationale, l'effacement de la dette et un retour aux valeurs chrétiennes, il est impossible de changer quoi que soit tant qu'un pouvoir autoritaire et incorruptible ne sera pas mis en place, pourquoi pas donc en commençant après la prochaine grande crise financière mondiale avec un militaire patriote comme le fut le Général de Gaulle, bien qu'il est inquiétant que de nos jours un général est souvent plus une personne politique en plus souvent atlantiste qu'un catholique militaire patriote, mais tout est possible.
Ensuite le retour en France de la nation vers plus de souveraineté monothéiste pourrait se faire à travers une monarchie intelligemment pieuse ou modérément laïque, c'est à dire dans une forme de remontée chronologique de l'histoire de France en reconnaissant la loi naturelle, la présence du Créateur et un roi, un général ou un président à vie comme nouveau lieutenant de Dieu pouvant donc quand même être changé par un référendum national. Surtout qu'une perverse féodalité financière sous forme de féodalités financières à combattre est actuellement au pouvoir en occident contre les peuples et qu'une lettre du quai d'Orsay envoyée à l’Élysée s’inquiète de l'orientation excessive de la France vers Israël et les USA, d'autant plus que certains de ses membres savent que le grand danger de ce réseautage américano-sioniste va même jusque dans leur ministère. En effet ceux qui pensent que l’Ancien Régime appartient au passé se trompent. Il y a toujours des seigneurs et des gueux, la seule différence, c’est que les gueux ne le savent pas, ou ne veulent pas le savoir. C’est tout l’art de la propagande contemporaine que de faire croire aux gueux qu’ils sont libres, voire qu’ils sont des seigneurs ! Or les seigneurs d’antan avaient souvent plus de classe, et pas seulement sociale, car d'abord au niveau de la noblesse pieuse et même au niveau de la noblesse de position. Dans ce sens il faudra trouver des accords entre croyants et incroyants pourquoi pas en les faisant se rejoindre sur la similitude entre diverses règles religieuses et lois naturelles comme par exemple à travers les interdictions du mariage homosexuel, de la transsexualité et de l'usure puisque étant les principales causes de destruction civilisationnelle et même humaine. Cela pourrait aussi être accompagné par l'élection régulière d'un premier ministre par le peuple, pourquoi pas par un scrutin à jugement majoritaire. Il est intéressant de voir à ce sujet la vidéo : « (Gilets Jaunes) Vers la démocratie et la fin de la mondialisation ? » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=yohtcidvaHM
Selon Valérie Bugault, ce nouveau système pourrait être basé sur une méritocratie élective dont les candidats auront à prouver par des faits leurs efforts, leur persévérance, leur assurance et leur organisation pour le bien commun. De plus il serait aussi important d'y faire participer de grands électeurs comprenant des associations de parents d'élèves, des syndicats, des organisations humanitaires, des communautés religieuses. Puis l'élu après s'être entouré d'excellents conseillers devrait rassembler les forces politiques, économiques, sociales, associatives et religieuses mais aussi des citoyens tirés au sort, afin de les interroger sur les grands sujets et évaluer la meilleure politique d'un juste milieu dans les intérêts de tous, tout en favorisant raisonnablement les faibles en cas de désaccord ou d'équité difficile. Enfin cette nouvelle société devrait être organisée autour des trois groupement d'intérêts commercial, culturel et spirituel, eux mêmes organisés en sous groupement d'intérêts, afin de tirer vers le haut toutes ces forces et groupements, dont en élisant des représentants respectifs qui tendront à faire des passerelles entre ces secteurs, ou des revendications légitimes, voire des contre-pouvoir. Or plusieurs groupements d'intérêts peuvent se créer au sein d'un seul secteur, comme il y a une différence entre grands et petits producteurs ou entre industriels et artisans. C'est à dire que suite à d'intelligentes négociations pacifiques, il faut prendre des décisions limitant ou évidemment mieux unifiant ces secteurs pour un développement commun.
Plus de précisions sont apportées dans les vidéos « Chronique Hebdo #39 avec Valérie Bugault - Revoludroit : vers une réforme efficace des institutions » à l'adresse https://youtu.be/17u7PapyV8g et « Du système de domination au changement de paradigme - Politique & Eco avec Valérie Bugault » à l'adresse https://youtu.be/v5OaJqwobLs
Valérie Bugault dit par ailleurs que quel que soit le système politique, s'il est lié à la représentation parlementaire associée à une banque centrale indépendante, il s'agit forcément d'une ploutocratie, que nous ne devons plus valoriser la vie, l'humain et la réalité qu'au vu du rendement, en retournant vers une conception plus politique qu'économique pour retrouver des valeurs qui permettent de refaire société, de prospérer en tant qu'individu et collectivité, et que pour sortir de l'hégémonie financière, il faut arrêter de considérer la monnaie comme une marchandise, en finir avec l'anonymat des capitaux déresponsabilisant et développer la doctrine sociale de l'Eglise au 19e siècle de participation, qui est le partage du pouvoir décisionnel dans le monde capitaliste entre les improductifs patrons et les productifs salariés et donc les développeurs de l'entreprise dont concernant l'avenir des richesses créées. Or concernant l'impôt, il n'y a que l'équité de la zakat qui unira et pacifiera tout le peuple, et cela ne pourrait se faire que via une monnaie numérique nationale pourquoi pas gérée par le peuple.
De plus comme la France a donc une revanche à prendre avec l'Histoire, puisqu'elle a été une des principales nations à l'origine du droit continental et que la laïcité devenue wokiste et ainsi extrême l'a envahie en premier avant le monde au détriment de sa relation avec Dieu, elle doit donc bien revenir à l'Histoire afin d'obtenir une union populaire plus forte grâce à la mémoire (et si possible la conscience) collective(s) et une foi commune, nécessaires à la réussite du projet de réorientation sociale vers les valeurs monothéistes et naturelles incarnant la civilisation par essence.
Le président Russe Vladimir Poutine a dit : « Que l'amitié et les bons espoirs qui nous unissent tous en ce moment, continuent de nous accompagner à l'avenir, nous aident dans le travail et participent à la réalisation de nos bons objectifs communs. »
Il faut noter que depuis la révolution libérale libertaire de mai 1968 (pré-révolution de couleur), ayant mis fin à la présidence du Général de Gaulle, dernier président réellement patriote de la France, puis permis la prise de pouvoir par une élite politique provenant principalement du cercle sectaire très fermé de L'ENA depuis plusieurs générations, le nombre de chômeurs est passé de 200 mille à 6 millions, car cette élite perverse a trahi la République Française en la vendant à des actionnaires.
D'autre part pour encore plus renforcer le pouvoir national, il faut se rappeler que l'empire islamique était divisé en provinces (régions comparable à des pays) dont des gouverneurs géraient les intérêts de chacune, prouvant la nécessité de bonnes zones administratives pour faciliter leur organisation et leurs demandes parfois logiquement particulières. Et c'est pourquoi la grande importance et donc la grande valeur voire la nécessité du retour du califat islamique, dont pour urgemment stabiliser l'Afrique, le Maghreb, le Korassan, le Proche Orient, et ainsi le Monde, pourrait être basé simplement sur l'union des pays musulmans telle une union voire une fédération ou plutôt une confédération au niveau de quelques grands principes moraux, au niveau économique (dont anti-usure) et pas forcément monétaire, au niveau des dogmes religieux et pas forcément de toute la religion, au niveau du droit naturel (dont contre le mariage homosexuel, la transsexualité, et le transhumanisme) et pas forcément de tout le droit coranique, au niveau d'un système type swift (synonyme d'empire) et pas forcément de tout le système bancaire, au niveau d'une monnaie commune et pas forcément unique (ce qui n’empêcherait pas de mettre des taxes sur certains produits), et au niveau d'un calife qui changerait chaque année à travers un représentant de chaque grande nation se succédant mais avec un parlement principal décisionnaire, car le principal est vraiment l'union musulmane bénie. En effet il est grand temps d'arrêter les caprices enfantins voire le mépris impie de la division empêchant les nations musulmanes de nouer des liens plus étroits, de renforcer leurs relations afin de promouvoir l’islam dans le monde entier, et de tendre à recréer le califat, et donc de trouver des solutions dans ces sens. Surtout que 52 pays du monde sont à majorité musulmane et que certains sont désunis et proche de l'autodestruction voire du retour au moyen âge, alors qu'ils correspondent ensemble à 1,3 milliards de personnes, ce qui en ferait le bloc hégémonique mondial en cas d'union dont par leurs positions et diminuerait les graves problèmes de l'immigration massive vers l'Occident.
Dans le sens de ce possiblement proche retour du califat, lors de sa conférence de presse, le ministre russe des Affaires étrangères a mentionné l'Iran comme l'un des cinq membres du cercle rapproché de la Russie, avec lesquels les relations sont importantes pour Moscou. « En ce qui concerne notre cercle restreint, je dois absolument mentionner ces pays du Moyen-Orient : l'Iran, la Turquie, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et le Qatar », telles sont les déclarations du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov lors de sa conférence de presse annuelle tenue jeudi 18 janvier, consacrée à description des réalisations de la diplomatie russe en 2023. En rappelant que par rapport aux diverses discussions avec les différentes tribus d'Arabie, le Prophète (SBDSL) accorda des particularités voire des autonomies tant que la zakat était payée et la paix préservée.
En effet les nations musulmanes doivent réinventer le califat en s'inspirant des quatre premiers califes et du califat abbasside avec Bagdad comme capitale, car ce dernier correspond à une forme d'âge d'or de l'islam, puisqu'il était florissant au niveau intérieur à travers la paix entre les sunnites, les chiites, les philosophes soufis et les quatre écoles religieuses, et au niveau extérieur par son expansion. Surtout que des cours religieux et scientifiques gratuits y étaient proposées, ce qui provoqua une grande effervescence intellectuelle, pieuse et sociale dans le monde. Il faut noter que chacun de ces califats étaient commandées par un dirigeant éclairé qui tendait à prendre en compte équitablement tout individu et tout groupe, comme chacun de ses gouverneurs de provinces. Ainsi il ne faut pas oublier de s'inspirer de ce qui est éternel et non caricatural dans le califat à réinventer, tout en faisant attention à ne pas répéter les erreurs des califats qui ont mené à la fin de cette institution sacrée puis même à la modernité progressiste en Turquie plutôt que qu'à conserver la dimension sacré de la religion, de la famille et l'individu, comme les égarés avides de pouvoir, les traditionnalistes aveugles ou la sacralisation de l'atome (du scientisme).
« Nous appelons l’ensemble du monde islamique, tous les gens sains d’esprit, à s’unir dans des efforts conjoints contre notre ennemi commun (l'Occident américano-sioniste, wokiste, belliqueux, mondialiste, transhumaniste et ploutocratique. » (président tchétchène Kadirov)
De même toutes la nations resteront probablement en grande partie les mêmes après le retour de Jésus, mais probablement souvent avec des changements politiques voire des alliances au sein d'empires.
De plus il faut éviter la dissolution de l'Etat par des organisations trop supranationales, en particulier au niveau de diverses lois commerciales, de certains traités internationaux, de la législation de l'union européenne, du système bancaire et de l'usure donnant trop de pouvoir aux multinationales et banques privées sur de nombreuses nations en rapport avec la mondialisation. En effet dans le monde politico-économique actuel, l'autorité devient plus économique que politique, car le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit. Ainsi depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est même la Fondation privée Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur. Par conséquent sans réel contre-pouvoir et souvent par le suivi aveugle de la majorité du peuple, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures souvent privées qui gèrent les crises qu’elles ont probablement souvent orchestrées pour accroître leur domination comme lors de la gestion mondiaiste du Covid par cet OMS devenu privé. Surtout que divers membres d'organisations supranationales dont aussi de l'Union Européenne déclarent tyranniquement que les peuples ne peuvent changer ces organisations ni leurs lois, synonymes de technocratie opaque, internationaliste et oligarchique. Il ne s'agit donc pas d'un combat populaire contre des défaillants ignorants, mais contre des menteurs sachants.
Pour reconstituer une forte autorité patriote, il peut donc s’avérer nécessaire de revenir à des structures locales et régionales mettant l’accent sur l’autonomie, puis de les recombiner progressivement en de plus grandes entités politiques cultivant de bilatéraux liens régionaux dont à travers des relations commerciales. Au fur et à mesure que ce processus suivra son cours, le plus grand défi partout dans le monde sera de tenir en laisse l’oligarchie transnationale n'enrichissant qu'elle même, et donc de museler ou d’écraser comme en Russie et en Chine les oligarques non coopératifs. Ensuite chacun devra développer à nouveau sa pensée jusqu’à ce qu’il puisse voir clairement et agir de manière productive. Ce ne sera pas une tâche facile pour ceux qui ont été conditionnés à penser globalement, et nous devons nous attendre à ce les élites perverses dont les ambitions mégalomaniaques ont été contrecarrées organisent un grand désordre. Et c'est dans ce sens que les crises, l'appauvrissement et le rabaissement moral des peuples de notre époque sont recherchées et organisées par ces perverses élites mégalomaniaques pour mieux les dominer. En fait dangereusement, le capitalisme des oligarchies corrompues actuelles pense d'abord à fabriquer les richesses par la production, et pense seulement après coup à la distribution des ressources par la vente selon le marché de l'offre et de la demande. En effet ce système est très défaillant, puisque les marchandises ne trouvant plus d'acheteurs à cause de leur appauvrissement organisé aussi par ces oligarchies corrompues, cela amène de la surproduction ou de la saturation des marchés synonyme de gaspillage sur fond d'épuisement des richesses naturelles, d'oppression financière, d'usure esclavagisante, de pertes de droits civiques, de stagnation salariale et de gens sans logements surtout que devenant de plus en plus chers à cause de ce contexte.
Ainsi face à ce système grandement erroné, la grande utilité des référendums d'initiative citoyenne ratifiés par des centaines de milliers de gens est de permettre la gestion de ces points et même les points qui pourraient être uniquement présents ou déraisonnablement présents dans le programme d'un parti vainqueur ou vaincu, afin de les améliorer, les valider ou les annuler, tout en unifiant ainsi la population par l'intelligence d'une réelle démocratie. De plus comme le contexte de vie peut parfois être différent en fonction de certaines zones, des référendums d'initiative citoyenne pourraient également être mis en place au niveau communal, départemental ou régional. Or si un peuple et son gouvernement tendaient à suivre sincèrement les règles monothéistes authentiques, ces référendums ne seraient plus nécessaires, sauf si c'est pour mieux les établir au niveau local, départemental et régional, surtout quand il y a différents avis ou contextes.
Mais la démocratie actuelle a été presque totalement vidée de son sens, et le pouvoir se contente désormais d’entretenir maladroitement l’illusion démocratique à l’usage des masses, biberonnées dès leur naissance à la propagande. Or nous ne vivons pas dans un régime totalitaire visible, car cela se caractérise par définition à travers la confiscation du pouvoir par un parti unique, nous vivons dans un régime totalitaire invisible, car un pouvoir profond caché dont dans la plupart des grands partis ne tolère aucune forme de grande opposition organisée. D'ailleurs tous les grands partis français sont d'accord concernant le droit à l'usure, le mariage homosexuel, la constitutionnalisation de l'avortement et la supranationalisation wokiste de l'UE oligarchique.
On peut noter que les principaux totalitarismes athées sont le nazisme, le communisme et le libéralisme, qui sont la fermeture, le social et l'individualisme portés à outrance par un manque de confiance en Dieu, car voulant trop sécuriser l'incertitude de l'environnement nous entourant. Cela montre aussi que trop de sécurité détruit la sécurité et que le juste milieu entre ces idées incarne la perfection du christianisme et de l'islam authentiques : (ExtS2v143) « C’est ainsi que Nous avons fait de vous la Communauté du juste milieu »
Le totalitarisme est un régime tyrannique à parti unique n’admettant aucune opposition et dans lequel l’État tend à orienter toutes les activités de la société et à en interdire certaines arbitrairement ou partialement dont au profit des autorités. Cela signifie que c'est une dictature utilisant souvent des règles indignes qui vont jusqu'à s’exercer dans toutes les sphères privée et intime, quadriller toute la société et tout le territoire, et imposer à tous les citoyens l’adhésion à une idéologie obligatoire. Il faut noter que la tyrannie est différente de la dictature, car cette dernière peut être éclairée.
Le totalitarisme se voit aussi à travers la censure systématique, la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales, même en dehors de la politique. La contagion délirante est aussi un signe du totalitarisme comme lors du covid. En politique, mais donc aussi en science, en médecine et en économie, le totalitarisme n'aboutit qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables comme le prouve la fin d'Hitler.
« On reconnaît un système totalitaire au fait que les criminels sont ménagés et les adversaires politiques criminalisés. » (Alexandre Soljenitsyne)
Or le totalitarisme moderne invisible auquel l'occident est confronté va plus loin encore que la simple tyrannie ou sa définition précédente, car il ne s'impose pas comme celui visible, mais s'installe tranquillement petit à petit à l'insu des gens dont par des lois de plus en plus liberticides liées aux crises climatique, financière, terroriste, sanitaire, guerrière, énergétique, inflationniste, économique et banlieusarde. Surtout que par ses médias, ce ploutocratique et sioniste système totalitaire entend désormais s’immiscer dans la sphère intime de la pensée en imposant insidieusement à tous les citoyens l’adhésion à la banalité d'une idéologie obligatoire qu'est la démocratie laïciste ultra libérale libertaire synonyme d'amoralité ou plutôt d'immoralité wokistes, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la société. En effet c'est une confirmation de plus que le principal totalitarisme authentique est celui ploutocratique sous un déguisement. C'est à dire qu'il a parfois voire souvent été déguisé dont actuellement à travers le néolibéralisme laïciste et avant à travers l'union soviétique et son oligarchie administrative, et est apparu fréquemment à travers l’Histoire dont en perdurant depuis des siècles jusqu'à nos jours. Ainsi il faut remarquer que ce totalitarisme ploutocratique déguisé est compatible avec nos institutions démocratiques, comme le multipartisme infiltré, les syndicats soumis et une presse faussement « libre », car ce totalitarisme caché ne présuppose pas la tyrannie, mais l'organise par le financement de ces domaines. C'est à dire que la tyrannie visible n’est qu’un moyen pour imposer le totalitarisme, et qu'elle peut donc être remplacée par un moyen invisible comme donc cette impie idéologie ploutocratique, wokiste et américano-sioniste dont à travers un ensemble de manipulations faisant accepter son instauration par le peuple. En effet tant que la population pense faire le bien, elle peut souvent être manipulée pour soutenir un mal immense.
Surtout donc qu'une douce (invisible) tyrannie raffinée en talon aiguille (vaccinale) passe plus facilement qu'une brutale (visible) tyrannie grossières avec des tenues militaires, car la première est sournoise et puissante par la manipulation soumettant, alors que la deuxième est violente et évidente jusqu'à des réactions d'opposition. D'ailleurs les révolutions communiste en Russie, fasciste en Italie et national-socialiste en Allemagne qui étaient basées sur la relation des gens en dehors de la transcendance, ont en réalité une autorité moins grande qu'aujourd'hui, puisque dans l'actuel ultra-libéralisme ouvert, supranational, libertaire, inclusif et décadent, tout est divisé et donc non révolutionnaire, et correspond donc au pouvoir le plus exclusif de l'histoire. Or comme la tyrannie par la force n'est plus tenable, elle se fait donc logiquement désormais par la subversion via les médias de masse et de plus en plus via les réseaux sociaux liés au smartphone, quoique la dissidence y reste forte. Le totalitarisme soviétique militaire était donc beaucoup moins puissant que le totalitarisme progressiste, car ce dernier est habillé de façon moderne. Surtout que pour obtenir le pouvoir d'autant plus quand le peuple n'a plus droit aux armes comme sous Staline et en France, le totalitarisme ploutocratique, progressiste et sioniste n'a plus qu'à attendre que le système précédent s'effondre sous ses contradictions, à activer les réseaux oligarchiques, à prendre les lieux de pouvoir, ou à espérer un massacre de manifestants pacifiques afin d'espérer que la police ou l'armée le rejoigne comme lors des révolutions oranges. Or la violence fasciste peut même être qualifiée de surface par rapport à celle de ce totalitarisme ploutocratique, progressiste et sioniste, car elle n'avait pas attaqué en profondeur les fondamentaux anthropologiques de notre société. En effet démoraliser et donc dominer les peuples, la ploutocratique, progressiste et sioniste société de consommation est allé jusqu'à légaliser le changement de sexe par la mutilation voulue par la folle doxa Lgbt, ce qui signifie qu'on est passé du réversible à l’irréversible, c'est à dire du travestissement vestimentaire réversible au travestissement sexuel irréversible car destructeur organiquement et fertilement en stérilisant donc l'occident populaire blanc. Par conséquent, l'occident qui a inventé le progressisme perverti, transhumaniste et donc nihiliste finit logiquement par se suicider. Ce qui prouve encore qu'avec la disparition progressive de la piété, l'humanité finit par s'autodétruire, et que l'envoi au cours de l'Histoire de Prophètes rappelant les vérités monothéistes était légitime et bien synonyme de sauvetage de l'humanité, même si la destruction divine est nécessairement souvent intervenue sur certains hommes ayant refusés leur message.
La tyrannie ne prospère que grâce à une partie inhérente de la société qui l'aime secrètement et souhaite son existence. Les idiots utiles et les aberrations sociopathes sont les complices de l'oppression, motivés par la peur, la sécurité de la foule et une fausse piété. La compréhension de ces motivations est essentielle pour lutter contre la tyrannie.
« Il existe une question fondamentale qui hante les pages de l’histoire et qui n’a jamais été traitée de manière satisfaisante. Il existe de nombreuses écoles de pensée sur le pourquoi et le comment de l’émergence de la tyrannie dans une société donnée et toutes ratent la cible en termes d’explications, principalement parce qu’elles laissent toutes leurs préjugés gouverner leurs conclusions et les aveugler sur les aspects plus profonds du pouvoir et de la conspiration. L’hypothèse commune en matière d’autocratie ou d’oligarchie est que les gens sont « stupides » et facilement manipulés pour suivre des personnalités convaincantes qui font des promesses qu’elles n’ont pas l’intention de tenir. Il s’agit d’une simplification excessive et stupide. En vérité, le niveau de manipulation nécessaire pour attirer une majorité de personnes dans une dictature est si complexe qu’il requiert une compréhension avancée de la psychologie humaine. Dans notre ère moderne, on ne peut pas simplement ordonner aux gens de se soumettre sous la menace d’une arme, du moins pas tout de suite. Il faut les inciter à se conformer, mais seulement cela, car il faut aussi leur faire croire que c’était LEUR idée depuis le début. Sans cette dynamique d’autocensure et d’auto-asservissement, la population finira par se rebeller, quelle que soit l’oppression du régime. Une tyrannie de mille ans ne peut exister que si un certain nombre de personnes sont amenées à l’applaudir, ou si elles en bénéficient directement. Et c’est là que se trouve la véritable clé du totalitarisme : il ne prospère que parce qu’une partie inhérente de toute société donnée l’aime secrètement et souhaite qu’il existe. Nous pourrions appeler ces gens des idiots utiles, mais c’est bien plus que cela. Ils ne sont pas nécessairement inconscients de ce qu’ils font ; ils comprennent dans une certaine mesure qu’ils contribuent à la destruction des libertés d’autrui, et ils s’en délectent. Bien sûr, il y a des élitistes et des globalistes qui lancent des conspirations de base et cherchent à exercer de plus en plus de contrôle, mais ils ne pourraient pas accomplir grand-chose sans l’aide de l’armée d’aberrations sociopathes qui vivent parmi nous. Cette caractéristique étrange et destructrice est toujours visible aujourd’hui à la lumière des confinements covid et de la pression pour les vaccinations forcées. Il est clair que certaines personnes sont trop préoccupées par les décisions de santé personnelle des autres. La science et les statistiques prouvent que le virus ne devrait pas être une crainte pour eux, mais ils ignorent la science. Ils ont soif du goût du pouvoir. Ils sont devenus un culte qui ignore toute logique et exige la fidélité à leur récit frauduleux. Ils ne se soucient pas des faits, ils se soucient seulement que nous nous conformions. Et c’est ainsi que commence le conflit épique, une histoire aussi vieille que la civilisation elle-même. Il y a deux types de personnes dans ce monde : ceux qui veulent contrôler les autres, et ceux qui veulent qu’on les laisse tranquilles. Mais qu’est-ce qui motive les maniaques du contrôle ? Pourquoi sont-ils tels qu’ils sont ? Examinons quelques-unes des causes :
Le moteur de la peur : Il y a des gens qui sont motivés par le succès, le mérite, l’espoir, la prospérité, la foi, l’optimisme, l’amour et l’honneur. Et puis il y a les personnes guidées par la peur. Il existe des centaines de peurs différentes, mais seulement quelques façons de réagir à chacune d’entre elles. Les collectivistes répondent à la peur par un besoin désespéré de microgérer leur environnement ; ils croient que s’ils peuvent dicter le comportement des gens et les événements dans une certaine mesure, ils peuvent éliminer les résultats inattendus et être libérés de la peur. Le niveau d’influence que ces personnes recherchent est si loin d’elles qu’elles ne pourront jamais l’atteindre. En d’autres termes, elles ne seront jamais satisfaites tant qu’elles n’auront pas obtenu davantage. Leurs peurs les hanteront toujours, car les peurs ne peuvent être traitées de l’extérieur, mais seulement de l’intérieur. De plus, les choses qu’elles craignent tournent souvent autour de leur propre narcissisme et sont de leur propre fabrication. Elles ont peur de l’échec, mais travaillent rarement assez dur pour réussir. Elles ont peur de s’exposer, mais uniquement parce qu’elles mentent constamment. Elles craignent les conflits, mais uniquement parce qu’elles sont faibles de corps et de caractère. Elles ont peur de la mort, car elles ne croient en rien de plus grand qu’elles-mêmes. Elles revendiquent la domination de leur environnement parce qu’elles croient à tort qu’elles peuvent tromper le destin et les conséquences de leurs propres choix terribles.
La sécurité de la foule : La question de la peur s’étend à l’état d’esprit commun des totalitaires et à la façon dont ils trouvent la sécurité. L’idée de se tenir sur ses deux pieds et de défendre ses principes face à l’opposition leur est complètement étrangère. Ils évitent ces situations à tout prix et la notion de risque leur est odieuse. Ils cherchent donc plutôt à se fondre dans la foule. Cela leur permet de se sentir en sécurité dans l’obscurité tout en exerçant une force par le biais d’une action collective. Ils peuvent se sentir puissants tout en étant pitoyables et faibles. Ces personnes opèrent presque toujours par le biais de grands groupes à l’esprit unique qui punissent toute dissension dans les rangs, généralement avec des gardiens qui modèrent les motivations de la ruche. La foule elle-même est une arme, son seul but, au-delà du confort de ses adhérents, est de détruire les personnes qui n’ont pas les mêmes croyances ou valeurs que les contrôleurs. Il n’y a pas de but défensif à la foule, c’est un outil pour assassin, c’est une bombe nucléaire. Et, comme nous l’avons vu dans toutes les dictatures modernes, des bolcheviks en Russie aux fascistes en Allemagne en passant par les communistes dans la Chine de Mao, la foule totalitaire est capable d’assassiner plus de personnes que n’importe quelle arme nucléaire existante, tout cela au nom du « plus grand bien du plus grand nombre ».
Une fausse piété à la place de l’estime de soi : Tous les tyrans se croient justes dans leur cause, même lorsqu’ils savent que leurs actions sont moralement odieuses. Par exemple la secte covid soutient constamment que les personnes qui refusent les obligations, les confinements et les vaccins mettent les autres en danger, et que c’est pourquoi nous devons être « forcés » à nous soumettre. La plupart d’entre eux savent, d’après les données, que le covid n’est pas une menace, mais le récit leur donne l’occasion d’appliquer leur pouvoir par le biais d’un « jugement moral », et donc ils mentent, et ils continuent à mentir au sujet des données jusqu’à ce qu’ils pensent que le mensonge sera accepté comme une réalité. Il s’agit d’un aspect commun à la plupart des sectes et des religions fondamentalistes qui se sont égarées – l’habitude des adhérents de privilégier les mensonges aux faits et aux preuves, non pas parce qu’ils essaient de protéger leur foi, mais parce que cela leur donne la possibilité de se sentir pieux et supérieurs à ceux qu’ils sont déterminés à blesser. Ceux qui ne sont pas d’accord sont qualifiés d’hérétiques, de moins que rien, de terroristes sans foi ni loi. La foule anti-mandat est ainsi dépouillée de son humanité et est dépeinte comme démoniaque. Les personnes qui veulent rester libres deviennent des monstres, et les monstres totalitaires deviennent des héros chargés de sauver le monde. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson « les obéissants se considèrent toujours comme vertueux plutôt que lâches. »
L’amour d’une cage : J’ai l’impression de comprendre cet état d’esprit dans une certaine mesure, mais je suis toujours choqué par la façon dont les gens qui grattent pour avoir du pouvoir sur les autres semblent aussi aimer être les esclaves du système. Je ne suis pas sûr que ce soit ironique, car l’autoritarisme tient certaines de ses promesses de « sécurité » tant que les personnes impliquées sont prêtes à renoncer à tout élan de liberté. Si vous faites ce que l’on vous dit à tout moment et que vous servez le système sans faillir, il y a de bonnes chances que vous puissiez vous accrocher aux maigres nécessités de la survie. Vous vivrez une vie, mais probablement pas une vie heureuse. Pour ceux qui se surpassent et mettent de côté tout principe personnel afin d’atteindre les objectifs du système, ils peuvent même jouir d’un minimum de richesse par rapport à leurs pairs. Vous voyez, dans une société despotique, les personnes les plus dépourvues d’honneur sont celles qui sont les plus récompensées. Ils n’ont pas besoin de mérite, d’accomplissement, de compétences ou même d’intelligence ; tout ce qu’ils doivent faire, c’est vendre leur âme et faire tout ce qu’il faut pour attirer l’attention de l’oligarchie. Ils n’ont pas besoin d’être bons dans quoi que ce soit, tout ce qu’ils ont à faire c’est d’être méchants, et pour certaines personnes, c’est facile. De cette façon, le système devient une couverture confortable dans laquelle des déviants inutiles peuvent être emmaillotés. Ils s’y enveloppent et se prélassent dans sa chaleur. Ils ne sont pas concernés par la liberté, car celle-ci leur semble froide. La liberté peut être isolante et l’existence du choix est terrifiante. Lorsque tous vos choix sont faits pour vous, il n’y a jamais de doute ou de stress interne. Tout ce que vous devez faire, c’est vous réveiller chaque jour et obéir. Pour les personnes faibles et ignorantes, la soumission est un cadeau plus qu’une malédiction. Ils croient qu’une cage est faite pour être dorée, pas pour s’en échapper, et que quiconque cherche à s’échapper doit être fou ou dangereux. Si des personnes libres existent, les esclaves sont obligés de remettre en question leur propre condition et leur propre conformité, donc tout le monde doit être asservi pour éliminer tout doute de la société. L’esprit de ruche est placé au-dessus de tout.
Les rebelles et les libres : Les petits tyrans qui infiltrent l’humanité considèrent probablement les défenseurs de la liberté comme des créatures extraterrestres venues de bien au-delà des limites de leur univers. Ils n’arrivent pas à comprendre comment il est possible pour quelqu’un de défier le système, de s’opposer à la foule ou à la collectivité, même s’il est en infériorité numérique ou si le risque est élevé. Ils supposent qu’il s’agit d’une forme de folie ou d’un manque d’intelligence ; car comment quelqu’un d’intelligent pourrait-il penser avoir une chance de se défendre contre la dictature ? Les gens voulant la liberté par-dessus tout sont des individualistes par nature, mais nous nous soucions également des libertés des autres. Il existe un récit de propagande commun qui prétend que les individualistes sont « égoïstes », mais ce n’est pas du tout le cas. Il ne suffit pas que nous soyons les seuls à échapper à l’esclavage, nous ne resterons pas non plus à regarder les autres être contraints à l’esclavage. Nous sommes prêts à risquer nos vies non seulement pour nous sauver, mais aussi pour sauver les générations futures de l’autocratie. Alors que les passeports vaccinaux et les obligations continuent de s’intensifier, les totalitaires se trouveront encore plus désorientés, car chaque nouveau mécanisme de contrôle donnera un élan encore plus grand à la rébellion, et franchement, à ce stade, ce sera nous, ou eux. Ils ne cesseront pas leur quête de domination et nous ne nous y plierons pas, nous sommes donc dans une impasse. Nos deux tribus ne peuvent coexister au sein de la même société, peut-être même pas sur la même planète. La vérité est que si le volontarisme était un idéal valorisé, alors tout ce combat pourrait être évité. Si le culte collectiviste était prêt à accepter l’idée qu’il peut choisir de vivre dans un environnement hautement micro-géré, alors que d’autres peuvent choisir de vivre indépendamment, alors il n’y aurait pas de crise. Nous pourrions facilement suivre des chemins différents. Mais ce n’est pas ainsi que pensent les totalitaires : pour eux, tous les gens sont des biens meubles, nous sommes des biens à mettre au pilori et à rééduquer jusqu’à ce que nous voyions la lumière. Et si nous ne voyons pas la lumière, nous devons être éliminés et effacés. C’est pourquoi ils sont totalement responsables de la guerre qui s’annonce. Ils ne peuvent s’empêcher de s’emparer de nos gorges et de nos esprits. Ils sont accros à la suprématie. Ils vivent dans un rêve fiévreux et la seule drogue qui leur rafraîchit les veines est l’oppression totale de tous ceux qui les entourent. Je vois ce qui va se passer et ce n’est pas joli pour les deux camps, mais ce sera particulièrement horrible pour les collectivistes parce qu’ils ne peuvent pas imaginer un scénario dans lequel ils perdent. Ils sont tellement certains de leur prééminence et de la sécurité de leurs prisons auto-imposées qu’ils verront l’échec comme un fantôme, un fantôme qui ne peut pas les toucher. Il suffirait d’une poignée de défaites mineures pour les faire tomber, mais il faudrait pour cela que les défenseurs de la liberté deviennent plus organisés qu’eux.
La conclusion est la suivante : les systèmes tyranniques sont planifiés par des groupes et des gouvernements élitistes et ce sont eux qui profitent le plus de la destruction des libertés publiques. Il s’agit bel et bien d’une conspiration, et le confinement en réponse à la pandémie et le recours forcé aux vaccins ne font pas exception. Cependant, les systèmes tyranniques ne pourraient pas être viables sans l’aide d’un plus grand contingent psychopathe de la population, et ces personnes se rassemblent pour que des choses terribles se produisent. C’est comme s’ils entendaient un sifflet à chien silencieux lorsque le totalitarisme s’élève, ou qu’ils sentaient le sang des victimes innocentes dans l’air. Appelez-les gauchistes, collectivistes, appelez-les comme vous voulez, mais sachez que les globalistes ne sont pas notre seule préoccupation. Il y a un mur de pions égocentriques et avides de pouvoir sur le chemin, et ils veulent tous les morceaux qu’ils peuvent obtenir de la table des puissants. Ils ne sont pas inconscients, ils n’ont pas été trompés pour faire les choses qu’ils font. Ce sont des gens tristes et pathétiques, mais leurs ambitions sont toujours dangereuses, et ils continueront à sortir du bois au fur et à mesure que l’agenda de la secte Covid et mondialiste progresse. » (Brandon Smith, article traduit par lesakerfrancophone.fr)

« La « démocratie totalitaire » est un type de démocratie par laquelle un pouvoir instaure une société totalitaire. Le terme de « démocratie totalitaire » est utilisé pour la première fois par Bertrand de Jouvenel, c’est le titre du chapitre XIV de son livre Du Pouvoir (1945). Il rappelle que « le Pouvoir est commandement, et tous ne peuvent commander. La souveraineté du peuple n’est donc qu’une fiction et c’est une fiction qui ne peut être à la longue que destructrice des libertés individuelles. » Jouvenel indique aussi quela compétition des partis « machinisés » aboutit à la dictature d’un parti, c’est-à-dire d’une équipe, succédant à une équipe précédente qui, par sa propre vision totalitaire de la démocratie, laisse à celle qui lui succède un État très étendu. La dictature y est bien pire que dans les monarchies d’autrefois, car le pouvoir faussement démocratique y est bien plus absolu. En effet dans ce système progressivement totalitarisé, un homme, une équipe, disposent de ressources immenses accumulées dans l’arsenal du Pouvoir, c'est à dire de nombreux de leviers étendus entassés successivement. Il n’existe dans la Société aucune contre-force capable d’arrêter le Pouvoir. Qui donc les a détruits, ces corps puissants sur lesquels les monarques de jadis n’osaient point porter la main ? (Et le califat authentique apparaît donc encore comme le meilleur système politique). … On bute alors sur Huxley : « La dictature parfaite aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où grâce à la consommation et au divertissement les esclaves auraient l’amour de leur servitude. » On verra si, au bout du rouleau sur le plan moral et financier, cette démocratie totalitaire occidentale (aussi folle que celle athénienne au 4e siècle, voyez là aussi mes textes) peut encore perdurer. » (Nicolas Bonnal, pour Strategika.fr)
Comme dans les totalitarismes du 20e siècle, les gouvernements occidentaux brandissent des ennemis de l’intérieur : Gilets jaunes, truckers, complotistes, antivax, prorusses, survivalistes, autonomistes, etc.
Ce qui s'est très gravement joué à Ottawa suite à la grande grève des camionneurs au niveau du gel des comptes bancaires de manifestants a été décisif, comme ce qui s'est joué dans le gel des comptes et la saisie des biens de riches russes et de certains Etats, et dans la fermeture des chaînes RT et Sputnik par rapport à la guerre en Ukraine. De même la fiabilité des Etats-Unis comme partenaire financier ne peut plus être espérée. En effet depuis qu'ils ont cherché artificiellement à ce que la Russie face un défaut de paiement, tout pays qui ne leur serait pas suffisamment vassalisé pourrait également subir ces attaques. Ce sont des méthodes de mafieux. Et le système financier global actuel n’est qu’un instrument de cette mafia qui a remplacé de nombreux états dont donc en occident mais aussi suite à l'effondrement de l'URSS.
C'est à dire que si les mondialistes parviennent à imposer le contrôle bancaire, la censure et de multiples entorses au droit de propriété comme ils le font avec les russes à l'image des nazis envers les juifs, ils parviendront à imposer l’agenda totalitaire de contrôle social et économique de la tyrannie davossienne. La chaîne d’infos RT France a d'ailleurs été liquidée sur décision de l’Union européenne davossienne, incarnée par la commissaire politique corrompue Ursula von der Leyen (soumise aux lobbies et à l'OTAN), qui se comporte donc en autocrate alors que même pas élue. Et personne, dans la presse française, n’a hurlé contre ce viol de souveraineté, cette censure abjecte et ces blocages de comptes bancaires. C'est pourquoi une décentralisée blockchain populaire nationale semble vraiment devenir une priorité. Surtout qu'une blockchain décentralisée peut aussi empêcher la censure informationnelle.
Il faut savoir que le contrôle totalitaire d'une nation peut partiellement se faire en trois phase : japonisation des banques centrales (comme désormais l'UE et les USA), soviétisation des économies par la dette (l'Etat se rend propriétaire de tous les outils de productions et de toute l'économie, et envoie les fiche de paie), et enfin libanisation de l'économie (effondrement de la monnaie et de l'économie, puis rachat de nombreux secteurs publiques par les grands fonds privés ou étrangers). D'ailleurs le libanais Nasrallah a dit dans ce sens : « Le prix de la capitulation au Liban signifiait l’hégémonie politique et économique d’Israël sur notre pays. » C'est une image du grand reset et du messianisme juif erroné basés sur le ploutocratique mondialisme américano-sioniste.
De plus la suspension de grandes banques russes du système Swift réalise ce que de nombreux pays envisageaient comme possibilité extrême ; celle d’une instrumentalisation politique totalitaire du système de paiement international basé au Luxembourg. Les banques américaines et européennes ont créé le système SWIFT pour garder le contrôle des flux monétaires et empêcher les institutions financières indépendants à les concurrencer. Or ni les États-Unis, et encore moins l’UE, ne contrôlent directement le système SWIFT, même s’ils exercent une influence significative sur son organe directeur, qui est en théorie assujetti à la loi belge. Le système est la propriété conjointe de plus de 2 000 banques et institutions financières, sous la supervision de la Banque nationale de Belgique, en partenariat avec les principales banques centrales du monde, la Réserve fédérale américaine et la Banque d’Angleterre. Pourtant tous ont laissé l’administration américaine prendre le contrôle du système SWIFT et s’en servir comme arme en radiant de ce système bancaire toute personne ou tout gouvernement prétendument hostiles, de façon à paralyser les économies de ces pays et souvent aux dépens même de l'Europe. C'est la mentalité kamikaze à laquelle fait allusion le président russe, une mentalité que l'Occident a si souvent reproché aux Orientaux. Or cela a précieusement provoqué la mise en place de solutions alternatives multipolaires par la Russie et la Chine. Cependant ce SWIFT, qui un système international de télécommunication bancaire, aurait dû normalement être en dehors de toute forme de politique. C'est un scandale absolu, car même pendant la deuxième guerre mondiale les gouverneurs de toutes les banques centrales continuaient de travailler avec l'Allemagne nazie. Ce qui révèle encore la réalité du mondialisme oligarchique et sioniste depuis des siècles. Or depuis qu'en plus de l'échange d'information, l'échange de valeur via internet est apparu à travers la cryptomonnaie et la blockchain, la fin des systèmes oppresseurs type swift est proche, surtout avec les satellites internet privés, mais ce qui n'empêche pas de créer aussi un système type swift sain y étant lié.
Ainsi « L’ère du dollar est en voie de disparition. Ironiquement ce sont les Européens et les Américains qui ont attiré de façon idiote l’attention du reste du monde sur cette situation. Croyant qu’ils détenaient une arme de dissuasion massive avec SWIFT, ils l’ont utilisée contre la Russie, pensant aider l’Ukraine à résister aux demandes de son voisin et accessoirement montrer que l’OTAN était plus qu’une alliance militaire. L’idée était que cela suffirait à faire plier Moscou et à faire peur à Pékin.  Les conseillers financiers de nos gouvernements occidentaux avaient oublié, par arrogance, il n’y a pas de doute là-dessus, un détail d’importance. Dès 2014, la Russie et la Chine avaient tranquillement travaillé à la mise en place de deux plateformes équivalentes à SWIFT et cela sans faire appel aux fabricants de logiciels ayant un quasi-monopole aux Etats-Unis et en Europe (je pense ici à Microsoft mais aussi Alphabet et Amazon). En Chine, SWIFT s’appelle SPFS, en Russie CIPS. On a vu le résultat. Le rouble qui devait sauter parce que les sept plus grandes banques russes avaient été exclues le 2 mars 2022 du système SWIFT, ce qui devait paralyser toute l’économie russe, n’a pas sombré.  L’arme de destruction massive s’avéra un pétard mouillé. Si on ajoute le gel illégal des réserves souveraines russes qui sabordent toutes les règles de swap dont vit le milieu financier international (y compris les états), l’Occident vient de saborder les deux piliers du système monétaire sur lequel il gérait sa dette. C’est ce qu’on appelle se tirer une balle dans le pied. Les conséquences sont multiples dans plusieurs domaines. Les pays producteurs de pétrole de la péninsule arabique n’ont pas appliqué les sanctions visant la Russie. La prétention américaine à fixer les “règles du jeu” du monde est désormais ouvertement contestée. On dit tout haut ce qu’on pensait tout bas, chacun à sa façon. Medvedev, ancien président et premier ministre de Russie, actuellement le nº2 du conseil de sécurité du pays (Poutine est le président de ce conseil), pense que “Le monde unipolaire, c’est fini. Ça ne reviendra pas. Vous ne pouvez pas geler les avoirs d’autres pays, porter atteinte à la propriété en saisissant des entreprises et des biens, et garder la confiance des autres. C’est utopique. La confiance dans une monnaie de réserve a disparu, comme la rosée le matin et nous verrons l’émergence de nouvelles formes de transaction monétaire. Qu’ils le veulent ou non, les Etats-Unis et l’Europe vont devoir s’adapter à un nouvel ordre monétaire où les pays qui ont une économie avancée, des finances publiques saines et un système monétaire fiable seront les décideurs. C’est un nouveau monde qui s’ouvre où ceux qui impriment du papier pour couvrir leur déficit ne seront plus écoutés. Nous voyons déjà les prémisses de tout cela.”  Le président chinois Xi est d’accord : “Beaucoup de gens sont conscients que la situation actuelle (des sanctions) pourrait détruire des décennies de coopération économique. Si la situation continue à se détériorer, il faudra des dizaines d’années pour réparer les dommages causés”. Alors quel est l’avenir ? La Chine reste très attachée au cadre des Nations-Unies, mais elle est consciente de la faiblesse de l’institution à qui certains prédisent l’avenir de la Société des Nations car elle est attaquée par ceux mêmes qui prétendent la défendre. Pour un ancien des services spéciaux suisses, le colonel Jacques Baud, il est clair qu’“Aujourd’hui, les pays occidentaux interviennent dans les affaires intérieures russes et chinoises au nom de “valeurs”, qu’ils ne respectent pas eux-mêmes “. » (Extraits de l'article « La fin du G7 » de Serge Berthier)
De même précieusement, la confiance des autres pays dans le système juridique et bancaire occidental, qui ne défend donc plus comme auparavant absolument le droit de propriété dans une forme de totalitarisme, a aussi logiquement pris fin. C'est à dire que ces pays en dehors de l'occident se débarrassent de leurs dollars et euros, ce qui pourrait en plus participer précieusement à empêcher la troisième guerre mondiale. Une grande partie des peuples occidentaux n'ont aussi plus confiance aux médias et politiciens du système, tellement leur propagande est grossière et leur censure est évidente, et l'internet libre dénonce ce totalitarisme. Alors que l’Allemagne n'est pas en guerre avec la Russie en Ukraine, il est même interdit d'avoir une opinion en arborant la lettre « Z » soutenant l'action russe en Ukraine ! Tous les médias russes s’adressant à un public occidental ont été interdits par les « démocraties » à partir du 24 février 2022, c’est-à-dire à partir pourtant de l’application par l’armée russe de la résolution 2202 du Conseil de sécurité demandant le respect du cessez-le-feu. Désormais en Allemagne, partager l’interprétation russe et même citer cette résolution internationale est honteusement assimilé à de la « propagande ».
Après le vol des subprimes, les révolutions oranges, la participation à des guerres, l’état d’urgence, les gilets borgnes, le covid, le gel des comptes bancaires, la fermeture de chaînes de télévisions, les confiscations de biens étrangers, le « démocratique » système wokisto-oligarchiquo-atlantisto-sioniste passe au pénal pour imposer sa tyrannie totalitaire.
Or il n’est pas naturel que l’homme renonce à sa liberté. Mais quatre branches de fabrique du consentement existent :
1. L’habitude : un accident tragique, dont les effets vont s’amplifier, va rendre nécessaire de vivre avec moins de liberté. Cela peut durer au point d’oublier le monde d’avant.
2. La manipulation : engourdir le peuple par les jeux, l’alcool…
3. Le profit et la complicité de la partie de la population la plus instruite : pour elle le pain et les jeux ne suffisent pas. Il lui faut le plaisir de dominer ses semblables. Sa micro domination et les bénéfices qu’elle en tire lui font oublier son statut de dominée. Ainsi elle ne remet pas en question le système.
4. La condamnation morale de quiconque oserait penser autrement.
À cette théorie ne manquent plus que les exemples pratiques : bien-pensance, confinement, vaccins, crise Ukrainienne.
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. » (Serge Carfantan)
Le commandement des anciens despotismes était : « Tu ne dois pas. » Le commandement des anciens totalitaires était : « Tu dois. » Notre commandement totalitaire est celle de l'hypnose qui correspond à faire de la parole d'autrui notre réalité : « Tu es Charlie (ou autre : tu es le vaccin, tu es ukrainien ; ceux qui pour éviter de réfléchir finissent par traiter les autres de complotistes même envers des humoristes). »
Tout régime totalitaire tient donc sur deux choses : la narration dominante et l'appareil de répression contre ceux la refusant, tout en faisant croire que cette narration est acceptée ou au moins tolérée par la très grande majorité. Dans ce sens, les médias mainstream forment l'opinion publique et des ONG sournoises les appuient en faisant des manifestations souvent avec peu de personnes mais filmées pour faire croire qu'elles sont beaucoup plus nombreuses. Il s'agit de la gouvernance par une ou des minorités souvent tenues par l'étranger via du financement plus ou moins important au détriment de la majorité, et c'est pourquoi il est important que ces ONG déclarent les sommes qu'elles reçoivent de l'étranger.
Le totalitarisme numérique à la devanture verte dans lequel veut nous faire entrer le grand reset de l'oligarchie mondialiste davosssienne est une numérisation du monde en valeur et donc une transformation des éléments de la nature gratuits en possibles actifs, même l'eau, les aliments OGM, les rivières et leurs dénominations.
Résister au totalitarisme n'est pas d'abord d'élever mais déjà de garder sa capacité de discernement et de jugement intacte. Car si vous critiquez le gouvernement, vous êtes un complotiste, si vous pensez autrement, vous êtes un cerveau malade, si vous dites la vérité, vous êtes un antisémite, si vous aimez votre patrie, vous êtes un fasciste, si vous vous défendez face à l’agression, vous êtes un fou, encore des preuves de l'inversion des valeurs du système. Surtout que par la puissance télévisuelle actuelle des grands médias, l'être humain ressemble de plus en plus à un robot, et devient de plus en plus prévisible dans ses réactions, de plus en plus plat dans ses dimensions, de plus en plus vide dans son intérieur.
« La formation du totalitarisme est souvent insidieuse dans la mesure où elle est presque toujours vendue au public comme « humanitaire » ; une solution pour le plus grand bien du plus grand nombre. Mais au-delà de cela, les tyrans vont également exploiter les idéaux de la population cible et utiliser ces principes contre elle. Nos idéaux de liberté ne sont pas nécessairement applicables universellement en tout temps et en toutes circonstances ; nous devons poser certaines limites afin d’empêcher l’oligarchie d’utiliser le libéralisme comme un outil pour s’implanter. Cette bataille pour l’équilibre est le drame déterminant de toutes les sociétés qui s’efforcent d’être libres. Cela peut sembler hypocrite, et l’anarchiste typique et certains libertariens peuvent rejeter complètement l’idée qu’il devrait y avoir des limites à ce que les gens (ou les entreprises) peuvent faire, surtout lorsqu’il s’agit de leur propriété privée. Mais à quel moment les droits de propriété privée empiètent-ils sur les droits des autres ? Est-ce tout simplement noir ou blanc ? Tout est-il permis ? Et que se passe-t-il si une foule de petites entreprises dans un endroit donné décident d’appliquer des mandats écrasant la liberté en même temps que les grandes entreprises ? Et si elles étaient toutes manipulées par des incitations ou des pressions gouvernementales ? Et si les gouvernements n’avaient pas besoin de mettre en œuvre le totalitarisme directement au début parce que les entreprises le font pour eux ? La dynamique de la propriété privée change-t-elle dans ce cas ? … Beaucoup de gens ne semblent pas comprendre qu’il existe différents types de monopoles dont nous devons nous préoccuper. Les monopoles dans les médias sociaux et les communications en sont un exemple, mais qu’en est-il des monopoles d’idéologie en général ? Vous pouvez avoir une centaine de petites entreprises et de grandes surfaces dans une communauté, mais si elles décident toutes d’appliquer collectivement les mandats covid, ou si elles sont toutes contraintes d’appliquer les mandats covid, alors tout choix a été supprimé du marché. C’est un monopole idéologique qui est tout aussi dangereux que n’importe quel monopole d’entreprise.
En fin de compte, dans le sillage des contrôles covid et de la censure massive en ligne, il est temps pour ceux d’entre nous qui font partie du mouvement pour la liberté d’avoir une discussion franche sur la question de savoir où se situe la limite des droits des entreprises. Le problème a pris de l’ampleur il y a quelques années, lorsque les grandes entreprises technologiques qui contrôlent la majorité des sites de médias sociaux ont décidé qu’elles allaient commencer à cibler activement les utilisateurs conservateurs par des interdictions sous de faux prétextes puis une censure pure et simple. Les tyrans de la médecine ont créé ce qu’ils pensent être une impasse pour les conservateurs : si nous nous opposons à ce que les entreprises soient autorisées à demander aux clients et aux employés des passeports de vaccination, nous violons l’un de nos principes fondamentaux : le principe de la propriété privée. Mais est-ce vraiment le cas ? Comme indiqué plus haut, les monopoles sont destructeurs de la liberté. J’irais même jusqu’à dire qu’ils sont intrinsèquement mauvais dans la mesure où ils ne conduisent jamais qu’à l’asservissement du public. De plus, les monopoles idéologiques peuvent être légalisés, ou même créés artificiellement grâce à la couleur de la loi. Les confinements n’ont jamais été votés par un corps législatif et n’ont jamais été votés par le public, ils ont été prononcées comme des édits venus d’en haut, sans aucun contrôle ni équilibre des pouvoirs. Les passeports vaccinaux ont été mis en œuvre de la même manière. » (Extraits de l'article de Brandon Smith « Passeport vaccinal : les droits des entreprises sont-ils plus importants que la liberté individuelle ? » à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/Passeport-vaccinal-les-droits-des-entreprises-sont-ils-plus-importants-que-la-liberte-individuelle-64879.html)
Après la guerre contre le covid, Emmanuel Macron repart même encore en guerre en aidant l'Ukraine face à la Russie, sauf qu'il y a un grand changement : la soumission volontaire est devenue la sobriété volontaire. Ne cherchons pas la différence, car il n'y en a pas même si la sobriété pieuse existe. Selon la technique éprouvée par McKinsey de manipulation des masses, voici le nouveau plan en quatre parties dévoilé en avant-première par le président. Sa méthode n'est plus celle du quoi qu'il en coûte » mais celle du « pas tout d'un coup », meilleur moyen pour faire accepter en douceur l'inacceptable. D'abord 1. la sobriété volontaire sans contrainte ; ensuite 2. la sobriété avec plus de contraintes ; 3. le rationnement avec des coupures. La quatrième partie du plan sera une surprise. On la découvrira en tant voulu. Lorsqu'on sera en dictature ? Lorsque le CNR macronien aura remplacé définitivement l'Assemblée nationale ?
A ce sujet il est intéressant de voir la vidéo « LE MEURTRE DE L'ESPRIT » à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=4BWY7gbw-Tk , et de lire les excellents articles « Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » – Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/31/dr-robert-malone-psychose-de-formation-de-masse-covid-19-pourquoi-tant-de-gens-croient-au-mensonge-du-vaccin/ , « Que faire ? Désobéir à l’apartheid biopolitique et bâtir la cité chrétienne – Pierre-Antoine Plaquevent » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/01/que-faire-desobeir-a-lapartheid-biopolitique-et-batir-la-cite-chretienne-pierre-antoine-plaquevent/ , « Psychopathologie du totalitarisme » à l'adresse https://strategika.fr/2021/12/30/psychopathologie-du-totalitarisme/ , et « Contre la société de surveillance : la conception européenne de la liberté » à l'adresse https://strategika.fr/2022/01/05/contre-la-societe-de-surveillance-la-conception-europeenne-de-la-liberte/
« Tous les éleveurs savent bien comment on dresse les bêtes. Les gouvernements devenus les gestionnaires du « parc humain » usent de toutes les techniques à leur disposition pour dresser le cheptel humain. La dynamique dans laquelle nous sommes engagés est très exactement celle du totalitarisme, si l’on veut bien admettre que le totalitarisme peut exister sans camps de concentration ni fours crématoires, instruments archaïques que la technologie moderne peut aisément remplacer. Il n’y a donc aucune « servitude volontaire » (mais il y a particulièrement la servitude « volontaire » par la peur utilisée par le système). La crainte, appuyée sur la puissance de l’imagination(, de la télévision et du confort même modeste) suffit pour expliquer l’apparente passivité des individus. Ils peuvent même aimer leur tyran par désir d’en être aimés. Tout cela s’appuie sur des structures archaïques, tant du point de vue de chaque individu que du point de vue de l’histoire de l’humanité. « On retrouve le besoin du père, c’est-à-dire le besoin de protecteur qui nous garantit à la fois contre les éléments extérieurs, contre les autres et aussi contre soi-même. Il s’agit de ne pas être abandonné, de ne pas être livré à soi-même, donc de s’abandonner à d’autres. » (Croyance et soumission, p. 188) Le problème devient dramatique quand celui à qui l’on s’est abandonné n’a rien d’une figure « paternelle », même en faisant des efforts d’imagination, et quand la survie élémentaire apparaît comme l’enjeu immédiat. C’est généralement dans ce genre de situation que sortent les piques et que les carcans qui nous emprisonnent sont brisés. » (Denis Collin)
Les idéologies totalitaires ont toujours ignoré la science, contrairement aux oligarques du Forum de Davos qui en ont fait leur cheval de bataille pendant le covid pour justifier la suppression de nos libertés de manière autoritaire, ce qui de manière inédite a été particulièrement facilitée à travers la formidable machine de guerre moderne du système dont de ses très influents médias en particulier télévisuels. Ces restrictions ont d'abord été liées au terrorisme, puis la cause virale a été prétextée pour les imposer, et le système pourrait même aller encore plus loin dans ce sens jusqu'à se servir des problèmes du climat, de la guerre en Ukraine, de l'inflation et des pénuries, dont il est pourtant responsable.
Un système de surveillance de masse se cache donc derrière tout ce techno-solutionnisme que l’on veut nous vendre, en particulier aussi à travers un euro numérique centralisé.
Le 12 mars 2024, lors d’une audition au Sénat, la ministre de la Culture Rachida Dati déclarait attendre les conclusions des États généraux de l’information dans l’éventualité d’une révision de la loi de 1986. La liberté d’expression que nos lois protègent en France risque d’être remise en question par l’introduction de la JTI de RSF. L’ONG, censée défendre la liberté de la presse et le respect des droits de l’homme, pourrait en devenir le premier fossoyeur quand ses certificateurs deviendront les nouveaux commissaires politiques du régime. Le nouveau nom de ce ministère de l’Information serait alors la « certification de l’information ». Comme à son habitude, le sens des mots est inversé par le gouvernement. Pour défendre la liberté de la presse, on veut en réalité la limiter ; pour garantir le pluralisme des médias, on veut censurer les opinions ; au nom de l’objectivité et de la non-politisation de l’information, on veut donner la certification des médias à des certificateurs extérieurs, tout autant (si ce n’est plus) subjectifs et politisés. Par un tour de passe passe, ce serait la fin définitive de l’indépendance des médias par rapport au pouvoir politique. Un pas supplémentaire vient d’être franchi dans la surveillance de notre utilisation d’internet. A la demande du gouvernement des Etats-Unis, un juge a ordonné à YouTube de fournir les noms, adresses, numéros de téléphone et activités des utilisateurs de comptes YouTube, ainsi que les adresses IP, de tous ceux qui ont visionné certaines vidéos sélectionnées. Bien sûr, on vous dira que c’est dans un contexte très particulier relatif à une enquête criminelle fédérale (concernant un vendeur de Bitcoins soupçonné de blanchiment d’argent). Mais les faits sont là : Google, la société mère de YouTube, a été contrainte de livrer les données de dizaines de milliers d’utilisateurs (on parle de vidéos vues plus de 30 000 fois). Et demain avec la criminalisation de la pensée ? Si on considère la criminalisation de la pensée qui se propage largement en Occident, comment ne pas craindre qu’à l’avenir de telles mesures soient prises concernant les spectateurs de vidéos dites “complotistes”, “d’ultra-droite”, “anti-vax” ou encore “russophiles”. Rappelons que la république française a renforcé cette année son arsenal répressif, permettant même de poursuivre devant les tribunaux ceux qui contesteront le discours officiel en matière de santé et de remèdes ou encore de condamner ceux qui auraient tenu des propos “discriminatoires” dans un cadre privé. Des groupes de défense des droits civiques ont exprimé leur inquiétude, affirmant que de telles ordonnances menacent de transformer des spectateurs innocents de YouTube en suspects criminels. Notons que les personnes qui regardent des vidéos sans être connectées à un compte ne sont pas à l’abri, puisque le gouvernement des Etats-Unis a également demandé l’adresse IP des spectateurs des vidéos incriminées. Albert Fox-Cahn, directeur exécutif du Surveillance Technology Oversight Project, s’inquiète aussi de ce qu’on appelle « les mandats de géofence », qui obligent Google à fournir des données sur tous les utilisateurs se trouvant à proximité d’un lieu de crime. « Ce que nous regardons en ligne peut révéler des informations très sensibles sur nous – nos convictions politiques, nos passions, nos croyances religieuses, et bien plus encore », a déclaré John Davisson, conseiller principal au Electronic Privacy Information Center (Centre d’information sur la vie privée électronique). Et il a aussi dit : « Il est normal de s’attendre à ce que les forces de l’ordre n’aient pas accès à ces informations sans motif valable. Cette ordonnance renverse cette hypothèse. »
« Ne pas se soucier du droit à la vie privée parce que l’on n’a rien à cacher, c’est comme ne pas se soucier de la liberté d’expression parce que l’on n’a rien à dire. Nous devons refuser les systèmes d’identité numérique (et de monnaies) centralisés, et le bitcoin apporte une nouvelle fois une solution élégante. »  (Edward Snowden)
Or le transhumanisme auquel les pervers oligarques veulent en plus accéder et la dégradation de la santé qu'ils provoquent aux moins riches dont par la vente de cigarette, le covid, de mauvais vaccins, de la malbouffe et des produits alimentaires pas assez purs correspond en plus au système d'esclavage le plus oppressif, totalitaire et destructeur de l'humanité dans l'histoire, surtout que nombreux meurent avant ou dans le début de leur retraite.
Et cela même si le tyrannie climatique, bancaire, sanitaire, numérique, inflationiste et économique correspond à un calme totalitarisme sournois servant les plus riches en particulier lors du covid, car ce fut à travers de la torture psychologique devenant des traumatismes dont envers les enfants : masques, confinements, pass sanitaire, censures, mise en avant de la peur du climat, du terrorisme, des virus, de la Russie, des pénuries. Alors que les vraies et donc nobles élites doivent normalement servir le collectif.
Vincent Pavan, enseignant-chercheur en mathématiques à l’Université Aix-Marseille, qui est à l’origine de panneaux en ville relayant des chiffres des risques liés à la vaccination, a même été suspendu. Participant au célèbre (et salutaire) collectif Réinfo-Covid, il était déjà sur la sellette pour son opposition au port du masque et en général aux mesures inutiles et liberticides prises lors de la crise sanitaire. La goutte d’eau des panneaux publicitaires fit déborder le vase de l’intolérance universitaire pourtant protégée par la loi : sa liberté d’expression a donc été sanctionnée sans appel. Un scandale de plus dans une tyrannie ordinaire. L’indifférence du troupeau impie, matérialiste et démocratique ayant le confort de base mène au fascisme laïciste, affairiste et politique.
Tocqueville : « l’aristocratie manufacturière que nous voyons s’élever sous nos yeux, est une des plus dures qui aient paru sur la terre ; mais elle est en même temps une des plus restreintes et des moins dangereuses. »