Recherche

Menu principal

PDF Imprimer Envoyer

C) Suite 3 (1)

Mais en réalité, la Science n’a ni bras ni jambes, ni essence guidante. Elle observe le monde pour en tirer des lois générales. Elle établit des liens entre des séries de faits, des relations entre les phénomènes. Or, si les lois physiques sont connues et acquises, le vivant n’y obéit pas exclusivement. En effet par rapport à ce dernier, ce qui n’est pas acquis, ce qui reste aléatoire, c’est par exemple l’efficacité des traitements et le bien-être de chacun.
« On ne passe pas le meilleur de nous, de notre argent, de nos richesses et de notre science pour améliorer l’homme, pour le rendre plus humain, alors que ça lui donnerait à nouveau une forme de joie et d’optimisme supérieurs, et donc l'envie de créer une planète apaisée. Parce que nous avons les moyens de nous apaiser. » (Jean Lassalle)
En réalité les maladies n’existent pas sans nous. Car la santé est un processus, un état qui s’améliore ou se détériore en permanence en fonction de nombreux facteurs. D’un point de vue hygiéniste, nous fabriquons notre santé et notre maladie tous les jours. Nous avons bien sûr une certaine marge de manœuvre pour mener une vie saine et contribuer à notre santé. Mais parfois nous perdons la main comme lors d'une situation financière difficile, la perte d'un proche, une pression professionnelle, le manque de chauffage à la maison, une panique collective créant de l’insécurité, une période de guerre...
D’autre part, même en imaginant que l’on puisse parler de l’humanité comme d’un seul corps, il est tout autant irréaliste de penser lui éviter les maladies, ou le stress, ou les peines de cœur, ou les catastrophes naturelles. Car la seule chose que l’on ne puisse pas faire pour nos proches, c’est bien de leur éviter de mourir ou de souffrir. En revanche, il est par exemple tout à fait possible de mettre en place un système de soin performant, peu cher, local et accessible, avec les médecins généralistes en première ligne à qui on laisse la possibilité de faire leur travail. Dans ces conditions, on peut soigner, réduire les souffrances, améliorer le confort de vie. Or pour cela, nous n’avons pas besoin de progrès scientifiques mais de volonté populaire et politique. Surtout que de nombreuse molécules peu chères soignent, et que tout est déjà bien accessible.
Or à cause du système laïciste, de nombreux humains endormis se détournent de ces vérités, car ils vivent souvent sous l’emprise de conditionnements et d’automatismes sans Dieu, en devenant un humain athée, fanatique, obsessionnel, sectaire ou/et radicalisé de la masse, tel un programme d’ordinateur incapable de se corriger et d’arrêter de répéter les mêmes erreurs en boucle, et en ne pouvant donc que survoler superficiellement la vie et qu'effleurer le sens de l'existence.
C'est pourquoi on n’entend jamais la parole des gens ordinaires réveillés, dont beaucoup n’ont pas fait de grandes études ou vivent simplement. Pourtant ces personnes lambda sont des gens normaux, de bon sens, avec une bonne dose de lucidité, celle qu’on contracte quand on est aux prises avec le réel et pas à donner ou recevoir des leçons via des plateaux TV. En effet cette lucidité populaire est loin du hors-sol des dirigeants médiatico-politiques corrompus, surtout que ces derniers sont en plus souvent générateurs de conflits d'intérêts, de chantage, de mensonges, de manipulations et de catastrophes. Notre système politique est si faussement méritocratique qu'une partie de cette population réveillée se refuse à donner son avis quand on ne l'empêche pas de parler dans les médias dominants. Heureusement contre cela, internet offre un vaste champ d’expression et de réflexion. Les chaînes éducatives, scientifiques, philosophiques, politiques ou religieuses sont légion, et donnent agréablement accès au savoir en dehors de toute rigueur académique ou violence symbolique.
          Ainsi à notre époque avec cet outil internet, mais aussi avec l'éducation nationale, l'ensemble des médias et les flux migratoires, les différentes religions du monde sont présentes dans notre culture. Malheureusement le plus souvent, les journalistes rappellent principalement les mauvais actes de certains adeptes, mais surtout du catholicisme et de l'islam par conséquent de manière intrigante. Une petite parenthèse mérite d'être ouverte à ce sujet. Il faut reconnaître que notre quotidien est souvent calme, puisque sans télévision nationale ou mondiale les grands malheurs et les morts dans notre environnement proche semblent généralement assez rares, même si les conflits sont de plus en plus nombreux surtout qu'ils ne sont pas des grandes guerres d'annexion, car il y a beaucoup plus de pays en paix sur leurs territoires qu'en guerre.
          L'être humain doit ainsi profiter de ce doux aspect de la vie, tout en cherchant évidemment comment il peut agir pour toujours accompagner notre monde dans le mieux, car ce n'est pas à l'univers (Création) source d'excellentes épreuves de s'adapter à nous, mais à nous de s'adapter à lui en tendant vers une excellente gestion des qualités morales exclusivement. C'est à dire que sans s'attarder sur l'ambiance morose provoquée par le journalisme avide de malheurs et de souffrances dont de faits divers, tel un culte du pire auquel beaucoup de journalistes et téléspectateurs succombent paradoxalement puisqu'on n'est pas censé ni programmé pour être au courant de toutes les horreurs du monde instantanément, l'être humain peut être en harmonie avec l'excellence de l'univers par un excellent comportement en particulier envers toute l'humanité, à l'image de la symbiose entre une fleur fournissant du sucre à une abeille et cette abeille lui apportant le pollen reproducteur. En effet, le monde de Dieu attend que nous soyons en harmonie avec lui. C'est à dire que nous pouvons créer autant de noblesse et de beauté que celles qui font avancer le monde. Surtout que sans l'être humain amenant souvent à en faire un enfer par sa désobéissance à Dieu, la Terre a une valeur paradisiaque par sa beauté et sa paix comme le Jardin d'Eden, en particulier par rapport aux autres planètes. Par sa confiance et son suivi en Dieu, l'être humain adulte doit d'ailleurs en partie tendre religieusement à continuer le vivre en paix, le respect, la sérénité et la non crainte du lendemain, ni de de la vieillesse ni de la mort, comme dans le Jardin d'Eden :
(S20v2-4) « Nous n'avons point fait descendre sur toi le Coran pour que tu sois malheureux, si ce n'est qu'un Rappel pour celui qui redoute (Allah), (et comme) une révélation émanant de Celui qui a créé la terre et les cieux sublimes. »
(S18v7) « Nous avons placé ce qu'il y a sur la terre pour l'embellir, afin d'éprouver (les hommes pour savoir s'ils vivent et partagent pieusement et ainsi dignement et conformément cet embellissement ou s'ils sont cupides et ainsi indigne et non conforme vers cet embellissement, et donc pour connaître) qui d'entre eux sont les meilleurs dans leurs actions. »

C'est à dire qu'avec la vision religieuse affirmant l'excellence des épreuves terrestres et un sérieux gérant bien la sagesse, la bienveillance et la bienfaisance permanentes, nous pouvons ne voir que des solutions et même que du bien dans ce monde, et plus de problèmes.
Selon Abou Houreyra, le Prophète (SBDSL) a dit : « Un homme passa devant la branche d’un arbre qui barrait la route aux passants. Il se dit : « Par Dieu, je vais enlever cette branche pour qu’elle ne nuise plus aux musulmans ». Il fut introduit pour cela au Paradis. » (Mouslim)
          Or donc malencontreusement, il est à constater dont à cause de la perversité médiatique, oligarchique et politique, que l'adoration monothéiste se perd par crainte, dégoût ou désintérêt, alors que nous sommes pourtant dans une période idolâtrant tel un paganisme moderne des célébrités, des sportifs, la richesse, les milliardaires, le matérialisme, le corps, la culture générale dans des jeux télés, la science, la technologie, la nature, les mouvements politiques athées, le bouddhisme, le polythéisme type hindou ou des sectes types franc-maçonne ou scientologue. Ainsi avant de se forger une opinion, chaque personne devrait d'abord étudier sérieusement les diverses spiritualités, après s'être informée correctement sur la réalité des forces visibles, cachées, lumineuses et occultes en présence sur terre, dans notre société et au sein du monde politico-médiatique, afin d'éviter les mauvais préjugés et les plausibles manipulations.
          Pour prendre un exemple, dans la guerre au terrorisme ou à la pauvreté décrétée par certains pays, nous ne pouvons oublier le double jeu de certains qui ont armé des « rebelles » et affaibli diverses nations, afin d'exploiter leurs ressources naturelles avidement par les multinationales occidentales, de continuer l'hégémonie américano-sioniste politiquement par le laïcisme désormais wokiste et d'entretenir le pouvoir impérial oligarchique financièrement toujours par la dette. Ainsi particulièrement en France, il n'est pas étonnant que la désinformation atteint des sommets inégalés, à cause des médias mainstream soumis aux politiciens et oligarques corrompus sous une forme ressemblant dangereusement de plus en plus à un média unique tyrannique, puisque appartenant environ à huit milliardaires qui influencent inévitablement l'information transmise et étant donc une évident problème moral et démocratique. Surtout que les milliardaires sont généralement copains entre eux, qu'ils n’ont pas besoin de se consulter pour dire la même chose, et que ces grands médias achetés ne servent que cette influence car ne rapportant pas d'argent, dont pour empêcher la dénonciation massive du système financier occidental ultra corrompu car ayant en faveur des ultra riches très diminué le partage la richesse. On peut même qualifier ce système de « cartel des médias de la désinformation subventionnés par le gouvernement ». En effet l’idéologie des différents journaux et des grandes chaînes mainstream correspond souvent en tous points à la ligne mondialiste. Il s'agit de celle qui défend les intérêts de l'oligarchie financière internationaliste corrompue, et donc du mondialiste Empire américano-sioniste wokiste, et donc son outil militaire qu'est l’OTAN (deuxième nom du Pentagone), et donc ses ses larbins que sont l’Union européenne et les gouvernements occidentaux alignés. La militarisation de l'information (de la communication) fait donc aujourd'hui partie du système occidental. En effet la presse n’est plus objective mais militante. Les chaînes d'infos mainstream créent même des campagnes médiatiques ou de faux sondages pour ensuite permettre au pouvoir de prétendre s'appuyer sur l'opinion publique lors de ses décisions. Ou du moins le sondage orienté est aussi souvent utilisé.
« Une récente enquête sur le « soutien » français à l’Ukraine, réalisée par Ipsos pour La Tribune Dimanche, met en lumière les subtilités de la manipulation de l’opinion publique à travers les sondages. Alors que l’objectif des sondages d’opinion est généralement de mesurer les attitudes et les opinions des citoyens, cette enquête particulière semble avoir été conçue d’une manière biaisée, favorisant une interprétation favorable au soutien à l’Ukraine. En effet, le sondage en question présente trois questions spécifiques sur différentes formes de soutien à l’Ukraine, « pensez-vous qu’il faudrait… ? » : -Augmenter le soutien français à l’Ukraine. -Maintenir le soutien français à l’Ukraine au niveau actuel. -Réduire le soutien français à l’Ukraine. Cependant, une quatrième question cruciale semble manquer : -celle sur l’arrêt de l’aide à l’Ukraine. En l’absence de cette question, l’enquête semble être conçue pour conduire les répondants vers des réponses favorables au maintien voire à l’augmentation du soutien à l’Ukraine. Parce que si une augmentation du soutien est envisagée, il est également nécessaire de considérer une réduction, de même que si le maintien est évoqué, il convient alors d’inclure une question sur le retrait du soutien. En examinant les résultats, on constate que les réponses favorables à l’Ukraine sont majoritaires dans les deux premières questions, tandis que la troisième question, sur la réduction du soutien à l’Ukraine, reçoit le moins de soutien. Sans la possibilité de choisir une option pour arrêter l’aide à l’Ukraine— notamment l’aide militaire —, les répondants sont limités dans leur capacité à exprimer leur véritable position sur la question. Dans de telles circonstances, les médias mainstream interviennent ensuite pour amplifier une information mensongère, comme en témoignent les titres suivants : -Le Figaro : « La majorité des Français en faveur de la poursuite de l’aide à l’Ukraine » -20 Minutes : « Guerre en Ukraine : La majorité des Français soutient le maintien de l’aide au pays » -Europe 1 : « Sondage : La majorité des Français souhaite maintenir l’aide à l’Ukraine » Ce biais apparent dans la conception du sondage soulève des questions sur l’intégrité et la fiabilité des enquêtes d’opinion. Les résultats de telles enquêtes peuvent avoir un impact significatif sur les politiques gouvernementales et les décisions publiques. Par conséquent, ce genre de sondage biaisé n’est pas menés de manière impartiale et équilibrée et ne permet pas aux sondés d’exprimer pleinement leurs opinions sans être influencés par la formulation des questions. Nous sommes clairement dans la manipulation d’opinion. Dans un contexte où la désinformation et la manipulation de l’information sont de plus en plus répandues, les Français doivent de rester vigilant face aux pratiques trompeuses des médias mainstream qui pourraient fausser notre compréhension de l’opinion publique et influencer les décisions politiques. » (Média en 4-4-2)
La fonction ultime des médias occidentaux apparaît de manière éclatante en période de guerre, comme quand BFM TV se met à soutenir les islamistes modérés ou les nazis ukrainiens. BFM est une chaîne mondialiste, car elle suit l'idéologie libérale-libertaire basée sur la droite du travail (financier et parasitaire) et la gauche des valeurs (sociétales perverses), plutôt que sur la droite des valeurs (souverainistes, christiques même si la solidarité ou l’amour du prochain est plutôt de gauche) et la gauche du travail (productive) selon la théorie soralienne comme il sera revu.
Tout cela sert au laïciste système international d'usure, car il cherche à dominer toutes les nations même au détriment de la stabilité économico-sociale. C'est à dire que comme pour la crise des subprimes, lorsque la finance internationaliste endettent une personne, un couple, une famille, une ville, un pays ou même des banques par des couches de crédits rachetés, cela correspond à de l'asservissement par le chaos. Surtout que seules les très énormes entreprises et banques peuvent avoir une valeur économique grandement négative dans ce système par leur aspect too Big to fail. Une entité too big to fail est une entité trop impliquée économiquement et donc nécessaire et donc entretenue par l'Etat même si elle grandement endettée. C'est à dire que ces entités souvent apatrides peuvent presque aller à moins l’infini au profit d'intérêts particuliers, puis être sauvées par les contribuables alors qu'à leur propre détriment dont de leurs services publiques en particulier en France, et donc parvenir à une tyrannie ploutocratique. Ainsi la dette, c’est comme les amendes, ça n’affecte que les pauvres.
En France, ces occupants apatrides correspondent logiquement à la clique mondialiste, financière, anglo-saxonne, cupide, sioniste, dominatrice et donc antifrançaise qui a mis la main sur l’État, et qui s’en sert pour déprotéger les Français, dont en détruisant leurs services publics,en brisant leur moral, en les rabaissant économiquement (dette, inflation, fiscalité, chômage, salaires bas) et donc en les asservissant.
Le problème principal est donc le contrôle de la création monétaire. Nous avons besoin d’un contrôle citoyen sur ce point. D'ailleurs la création monétaire étant normalement un devoir régalien mais qui est désormais contrôlé perversement par le privé, cela prouve qu'elle pourrait se faire à travers la a décentralisation d'une cryptomonnaie populaire contrôlée par l'Etat voire par une organisation supranationale, ou la centralisation d'une cryptomonnaie étatique stable contrôlée par quelques comités populaires régionaux se renouvelant. En sachant que pour l'impôt, il faudrait lier ces cryptomonnaies à des cryptomonnaies spécifiques comme pour les salaires et à des valises cryptos attachées à une banque nationale, et que pour les achats à l'étranger, il faudrait aussi créer une cryptomonnaie spécifique en vue d'éventuelles taxes protectionnistes. Cette idée de monnaie populaire est parfois discutée à Bâle afin de lutter contre la grande oppression de la Banque des règlements internationaux qui s'y trouve : la « banque des banques centrales ». Suite à des réunions de plusieurs groupes d'experts, la World Freedom Alliance a même décidé de l’inclure dans sa charte des droits de l’homme en tant que « liberté économique hors des systèmes de crédit coercitifs et exploitants ».
Or « La monnaie numérique de banque centrale permet d’être plus indépendant de l’industrie du crédit et de la dette, qui est le monopole des banques commerciales et de la finance. Cette monnaie permet de se libérer du chantage au « too big to fail ». Les crises seront alors mieux amorties. Cette monnaie « libre de dettes » pourra aussi subventionner les citoyens et l’État sans les endetter, sans avoir non plus à passer par le canal des marchés financiers. L’avantage ou le désavantage de la monnaie numérique de banque centrale est la traçabilité et la transparence qu’elle offre. Les adeptes de l’argent noir, du crime, et de l’évasion fiscale, sont évidemment contre cette monnaie centralisée qui facilite leur traçabilité par les autorités compétentes. L’avantage pour l’État est de profiter de la transparence offerte pour optimiser les entrées fiscales. Le danger est qu’il abuse de ce pouvoir : sans intermédiaires entre le pouvoir centralisé et les citoyens, l’État est plus facilement en mesure de profiter de son pouvoir. Un autre danger de cette monnaie centrale numérique tient dans le fait que les décisions de sa création sont, comme aujourd’hui, entre les mains de banquiers centraux qui se disent indépendants, en théorie, des intérêts du pouvoir ou de ceux de la finance. Dans les faits, la création de la monnaie centrale dépend donc de décisions humaines qui peuvent être influencées par le pouvoir ou par des lobbys financiers puissants. Les citoyens n’ont aucun contrôle sur les politiques monétaires menées. Rien n’empêche donc que la création monétaire puisse déraper et ruiner la confiance en la monnaie. Pourtant, techniquement, il serait possible de mettre en place un protocole monétaire décidé démocratiquement, où la quantité de monnaie créée est décidée en amont, ainsi que le taux de la « fonte », et le seuil à partir duquel la monnaie est taxée pour éviter la thésaurisation. Tous ces paramètres devraient être en accord avec des objectifs de justice sociale et de croissance économique respectueuse des équilibres humains et écologiques. Ce protocole pourrait être rectifié ou amélioré de temps à autre selon les besoins. Pour rendre ce système le plus démocratique possible, les nouveaux critères devraient être votés par les citoyens. Mais les banquiers centraux ne sont pas prêts à perdre leur pouvoir de création monétaire. Pour cette raison, des citoyens ont perdu tout espoir de récupérer ce pouvoir par la voie démocratique, et préfèrent opter pour des monnaies numériques reposant sur des protocoles monétaires décentralisés, comme le Bitcoin, ou dans une moindre mesure l‘Ether. Depuis la crise de 2008, les cryptomonnaies séduisent de plus en plus une frange de la population qui veut reprendre le contrôle sur le pouvoir monétaire. Comme toute révolution technologique, l’écosystème des cryptomonnaies attire vers lui toutes sortes de comportements spéculatifs. Cependant, il faut séparer la spéculation de la technologie, et c’est cette dernière qui attire notre attention ici.  Aucune monnaie ne peut s’imposer sans cette dimension de l’ordre de la foi. Cette confiance dans la monnaie peut être imposée de force par un tyran, ou par la loi lorsqu’on a affaire à une démocratie, ou par la puissance de la technologie dans le cas du Bitcoin. Une avancée ou un simple retour dans le passé monétaire ?  D’aucuns peuvent penser que le Bitcoin est une avancée technologique inédite dans l’histoire de la monnaie. Mais à y regarder de plus près, le Bitcoin est très proche, du point de vue des caractéristiques, de la monnaie-or. Il est en quantité limitée, 21 millions d’unités de Bitcoin à comparer au cube de 21 ou 22 mètres d’arête qui pourrait contenir tout l’or extrait sur Terre depuis la nuit des temps.  Le Bitcoin existe par lui-même une fois extrait, comme l’or. Les deux monnaies, le Bitcoin et l’or, sont donc libres de dettes, dans le sens où elles ne sont pas créées lors de l’octroi d’une dette comme c’est le cas aujourd’hui de la monnaie-dette que nous utilisons. Ainsi, si toutes les dettes du monde étaient remboursées, le nombre d’unités de Bitcoin ne bougerait pas, contrairement à la monnaie que nous utilisons aujourd’hui qui disparaitrait. Si le Bitcoin venait à être utilisé, comme l’or le fut après les accords de Bretton Woods en 1944, c’est-à-dire dans le cadre des échanges de différences des balances commerciales entre les États, alors nous serions replongés dans une ère où la quantité de monnaie serait limitée, et où la croissance économique aurait des limites officielles. Le Bitcoin comme monnaie internationale ? Nous sommes pour le moment loin de l’adoption du Bitcoin comme monnaie d’échange entre les États. Pour cela, il faudrait que la guerre qui oppose le dollar (et son vassal l’euro) et le yuan (et son allié le rouble), tourne à l’avantage du bloc sino-russe. S’il fallait faire de la géopolitique fiction, il faudrait que les BRICS, principalement contrôlés par la Chine et la Russie, soient rejoints par de nouveaux États prêts à en découdre avec l’hégémonie du dollar. Si, par exemple, les pays de l’OPEP décidaient d’échanger leur pétrole contre du Bitcoin, alors le Bitcoin pourrait devenir hégémonique. À cause de la taille de plus en plus conséquente des blocs à insérer dans le registre, la vitesse de transaction est relativement lente et le nombre de transactions en Bitcoin est limité à peu près à 10 par seconde. Un chiffre à comparer aux 25 000 transactions par seconde que permet le système de paiements électroniques actuel. Ces limites du Bitcoin sont trop contraignantes pour que cette cryptomonnaie puisse être utilisée dans les échanges quotidiens de tous les citoyens du monde. Les « crypto-ingénieurs » cherchent depuis de nombreuses années une solution pour accélérer la vitesse de transaction et pour se libérer de la contrainte du nombre de transactions par seconde. Ils avancent depuis quelque temps l’idée d’un protocole secondaire (layer 2) qui est construit au-dessus du système de blockchain existant. Mais aucune solution trouvée jusqu’à là n’est optimale. Le Bitcoin pourrait servir plutôt comme monnaie de compensation entre les États, ou dans les marchés des matières premières entre pays producteurs et les multinationales. Les limites citées plus haut ne sont plus contraignantes dans ce cas de figure. Le Bitcoin agirait alors comme l’or pouvait agir au XIXe et XXe siècle. De plus, le principal intérêt du Bitcoin par rapport à l’or est son caractère immatériel, pouvant être déplacé d’une banque centrale à une autre par un simple clic sur un clavier d’ordinateur. Vers un Bretton Woods 2.0 ? Même dans le cas où une monnaie décentralisée telle que le Bitcoin supplanterait la monnaie-dette, ou comblerait le vide laissé par la monnaie-dette en qui plus personne n’aurait confiance, nous reviendrons dans une configuration d’un passé pas si lointain, lorsque la « banking school » (monnaie-dette émise par les banques commerciales) faisait la guerre à la « currency principal » (monnaie-métal). Cette guerre monétaire, initiée au XIXe siècle, a mené à un compromis international à la sortie de la Deuxième Guerre mondiale, lorsque les États-Unis ont pu imposer au monde le dollar grâce à leur réserve d’or accumulée avec le temps dans leurs coffres (les États-Unis possédaient un tiers des réserves d’or des banques centrales en 1945). La différence ici serait de taille. Qui est Satoshi Nakamoto, celui qui possèderait à lui seul entre 1 et 2 millions des unités de Bitcoin en circulation (entre 5 % et 10 % du total) ? Est-ce une personne encore en vie, une organisation, les services secrets d’un État ? Nul ne peut répondre à cette question avec certitude, si ce n’est en faisant parler son intuition. L’autre défaut du Bitcoin est le fait que c’est une monnaie dure qui est facilement thésaurisable. Étant en quantité limitée et ne s’oxydant pas, le Bitcoin comme l’or favorisent l’oisiveté monétaire : quand ces monnaies sont adoptées, rien n’oblige les possédants à les dépenser ou à les investir dans le circuit économique, comme c’est le cas avec les monnaies-dette pour éviter l’érosion liée à l’inflation. Or, une monnaie thésaurisable finit au cours du temps par se concentrer sur quelques possédants, avant de tuer toute vigueur économique comme ce fut le cas pendant le Moyen-Age avec l’adoption de la monnaie-or. Un système monétaire hybride possible ? Rien n’empêche, dans l’état des choses, que nous nous dirigions vers un système monétaire à deux niveaux, avec l’utilisation des monnaies numériques de banques centrales au niveau des citoyens, et un protocole monétaire acéphale au niveau international. Les premiers serviraient aux échanges économiques au niveau des ménages, des entreprises, et de l’État (pour collecter les impôts et financer le budget). La monnaie internationale acéphale servirait comme devise de référence internationale, comme ce fut le cas avec l’or au XIXe et XXe siècle. Le rôle des banques commerciales serait alors de faire circuler la monnaie centrale dans l’économie réelle, des agents qui veulent investir leurs unités pour faire fructifier leur épargne ou pour éviter la taxe de la banque centrale au-delà du seuil autorisé évoqué plus haut. Les banques commerciales ne créeraient plus la monnaie, mais la feraient circuler tout simplement. Elles ne prendraient plus des intérêts, mais des frais qui rémunéreraient leur intermédiation entre les agents économiques. Le risque systémique ne serait alors plus porté par les banques commerciales, donc in fine par l’État et les citoyens, mais par les investisseurs qui prennent à la fois le risque et les profits la plupart du temps, et les pertes quand il y en a.  Nul ne serait obligé d’investir son épargne dans des activités à risque. Il suffirait de garder son épargne sur son compte auprès de la banque centrale, quitte à payer une taxe sur le solde dépassant le seuil autorisé (la fameuse fonte). Pour que ce système soit juste, il faudrait que le fruit de cette taxe serve aux dépenses de l’État dans le cadre de son action sociale. L’excès d’épargne ne serait plus pénalisé par l’inflation qui est un impôt caché payé par les pauvres et les travailleurs, mais pénalisé par une taxe qui reviendrait aux plus démunis.  Pour que le système soit encore plus équilibré, la création monétaire ne doit surtout pas générer de l’inflation pour éviter toute double peine à ceux qui mettent leur épargne dans leur compte de banque centrale pour éviter tout risque. Pour cela, la monnaie de banque centrale doit avoir une croissance modérée, en rapport avec une croissance soutenable pour l’humain et la planète. Enfin, il ne resterait plus qu’à décider à qui reviendrait la monnaie créée annuellement par la banque centrale. Cette monnaie pourrait être distribuée équitablement entre tous les citoyens (idée de dividende social). Mais il serait encore plus intelligent de distribuer cette création monétaire à l’État avec un objectif double : libérer l’État des marchés financiers, et libérer les classes moyennes d’une part du poids de l’impôt. Étant donné que la charge de la dette représente, en 2022, presque 2 % du PIB, que le déficit budgétaire avoisine 3 % du PIB, et que la masse monétaire est du même ordre de grandeur que le PIB, décidons une bonne fois pour toutes d’octroyer annuellement à l’État 3 % de la masse monétaire grâce à une création ex nihilo (à partir de rien). Pour que cette monnaie soit encore plus citoyenne, on pourrait imaginer un protocole qui permettrait à chaque citoyen de mettre à disposition un pourcentage de ses ressources informatiques pour valider les transactions. En somme, chaque citoyen « minerait » passivement la monnaie, et serait un garant de la décentralisation partielle de celle-ci. Au niveau international, un protocole monétaire acéphale et dont la quantité de monnaie ne croit pas (tel le Bitcoin) finirait tôt ou tard par être concentré sur une puissance, comme ce fut le cas à la fin de la Deuxième Guerre mondiale avec les États-Unis. Nous serions alors amenés à subir un nouveau Bretton Woods 2.0, avec tous les abus de confiance monétaires que cela comprend.  Il reste à penser à une sorte de fonte sur cette monnaie internationale acéphale, dont le fruit serait distribué équitablement entre les citoyens du monde, monnaie que chaque citoyen pourrait décider d’échanger avec son État contre l’équivalent de la monnaie numérique de banque centrale locale. Utopie ou réalité ? Après la crise de 2008, qui aurait pu penser que les banques centrales allaient créer autant de monnaie (multiplication par 7 de leurs bilans) en un peu plus d’une décennie ? Si un économiste de l’époque l’avait prédit, on l’aurait sûrement traité de fou, ou de peu sérieux. Aujourd’hui, le système-dette est au bord de l’effondrement. Et c’est lorsque l’humanité est face au mur qu’une idée jugée d’abord utopique finit par s’imposer d’elle-même face à la gravité des événements.  Plus rien n’empêche la mise en place d’une monnaie centrale numérique citoyenne, au service de la justice, dans le respect de la dignité humaine et des équilibres écologiques. Pour cela, il faut une poignée d’hommes et de femmes qui comprennent les enjeux monétaires, et qui aient le courage d’imposer grâce aux outils démocratiques et technologiques le retour sous le giron citoyen du pouvoir de création monétaire !  Si nous laissons les geeks prendre le contrôle du monde avec leurs monnaies non étatiques, ou si nous laissons les banquiers centraux continuer de décider seuls des règles monétaires, il est probable que nous ayons à subir dans un futur proche des moments douloureux tant du point de vue social qu’écologique.» (Extraits de l'article « Contrer les dérives de la finance : la monnaie centrale numérique – Anice Lajnef » à l'adresse https://strategika.fr/2024/05/17/contrer-les-derives-de-la-finance-la-monnaie-centrale-numerique-anice-lajnef/)
Or quand JF Kennedy a essayé de rendre le contrôle de la création monétaire aux mains du Congrès en signant l’Executive Order 11110, il a été assassiné peu de temps après avant d'y parvenir. Et c'est pourquoi l'Etat profond états-uniens (complexe militaro-industriel, bancaire et sioniste lié à la CIA et au FBI) peut être à l'origine de son assassinat, même si comme dans d'autres affaires similaires dans le monde, des services spéciaux ont pu se servir d'une mafia comme relais, surtout que l'assassin Jack Ruby du prétendu assassin Lee Harvey Oswald de Kennedy était lié à la mafia juive (khazar). Or ce sont les services de renseignements intérieurs et extérieurs ainsi que le complexe militaro-industriel qui sont (étaient car désormais cela correspond plus à Israël et aux réseaux liant l'AIPAC, des Milliardaires, la CIA et le Mossad à travers des sayanims juifs ou non juifs et les nombreux évangélistes sionistes) la plus grande partie du pouvoir profond américain.
D'autant plus que selon le Généarl Delawarde, la mort de Kennedy (qui était pacifique et prêt à la multiparité géopolitique par son intention d'arrêter la guerre du Vietnam, sa volonté de mettre fin à la guerre froide et à son support aux pays non alignés ne voulant choisir entre ces deux blocs hyper puissants) a été possiblement le principal événement ayant amené au monde actuel faisant suite aux attentats du 11/09 puis au chaos provoqué par les USA et Israël. Car son successeur Johnson était un sayan voulant maintenir la guerre hégémonique des USA au Vietnam et favorisant l'armement d'Israël (bombes nucléaires comprises) et l'ingérence d'Israël dans le USA, dont en permettant que le néoconservatisme naissent et s'épanouissent dans toutes les administrations américaines successives, particulièrement aux postes clés comme il sera revu. D'ailleurs ceux qui se sont occupés de l’enquête sur l'assassinat de Kennedy en évoquant un probable inside job (CIA, Pentagone ou FBI alors qu'une fin de mandant de Kennedy leur auraient suffis) étaient des sayanims et ne pouvaient donc qu'écarter Israël des possibles commanditaires. En tout cas vu la non déclassification de ce dossier par les gouvernements américains alors qu'ayant dépassé 50 ans, cela prouve qu'il y a eu un complot.
Dont aussi car il a été prouvé que Johnson était un descendant de juifs allemands de manière certaine sur trois génération puisque dans le sens généalogique maternel, le Général Delawarde affirme même que Johnson a été le plus grand sayan de l'histoire, car juste après la mot de Kennedy, sa politique alla donc principalement à l'inverse de ce dernier, dont donc au niveau du développement de l'unipolarité US, de la naissance du néoconservatisme, de la nucléarisation, mais aussi du l'étouffement de la crise du bateau Liberty (faux drapeau israélien contre les USA pour espérer une attaque contre l’Égypte et annexer de son territoire), de l'armement offensif donné à Israël et de sa validation la guerre israélienne de 1967 qui a permis de tripler son territoire, ce qui ramène encore Israël comme principal profiteur de la mort de Kennedy. Ainsi selon très bon avis du Général Delawarde, l'assassinat de Kennedy correspond même à l'événement le plus important ayant mené le monde au désordre actuel, devant la fin de l'URSS et les attentats de 2001.
Mais comme l'a précisé le Général Wesley Klark, ancien commandant de l'OTAN, c'est suite à une forme de prise de contrôle mafieux de l'appareil administratif US par les néoconservateurs suite aux attentats de 2001, que le renforcement du néoconservatisme et de son projet hégémonique sans partage des USA a eu lieu. Ce projet s'appuie très mensongèrement sur la pseudo nécessité US de se défendre, de propager sa démocratie et de lutter contre les dictateurs, puisque malgré son association aux monarchies pétrolières arabes. Ainsi les néoconservateurs sont clairement les organisateur du désordre mondial actuel depuis 2001, en particulier, en Irak, en Syrie, en Ukraine, en Arménie et en Palestine. Ce néoconservatisme s'est ensuite aussi beaucoup renforcé dans certains pays alliés par le biais d'une diaspora soutenant activement Israël : Tony Blair en Grande Bretagne, John Howard en Australie, Stephen Harper au Canada, Sarkozy en France, dont par preuve de leur participation à différentes guerres. Et ce sont souvent encore d'anciens néoconservateurs qui sont les plus attachés à la continuité de ces guerres.
Concernant les autres raisons possibles de son assassinat très mystérieux d'autant plus avec le mystérieux assassinat de son frère et le mystérieux accident mortel de son fils, l'excellent entretien « La mort de Kennedy marque un tournant majeur dans l’histoire des États-Unis et du monde : entretien avec Laurent Guyénot » peut être lu à l'adresse https://www.egaliteetreconciliation.fr/La-mort-de-Kennedy-marque-un-tournant-majeur-dans-l-histoire-des-Etats-Unis-et-du-monde-entretien-66992.html
Cependant ce pervers pouvoir profond américain est aussi donc beaucoup dirigé par la finance internationaliste de Wall-Street et de la City qui a donc fait une sorte putsch dans le monde anglo-saxon principalement incarné par les USA et la Grande Bretagne. Comme il a été vu, cette finance internationaliste vampirise les États dont en soumettant ou déstabilisant leurs dirigeants et en ayant progressivement la main mise sur leurs services publiques surtout quand ces dirigeants la laisse d'abord vampiriser leurs peuples.
Même l'énorme dette US provient de cette vampirisation anti-populaire, puisque elles composée par les dettes des ménages, des étudiants, des entreprises, des États de l’union, des institutions locales, de l'armée, des institutions financières et de la fédération. Le rythme d’augmentation de la dette fédérale était encore de 3 milliards de dollars par jour en mai 2019, et il a été en moyenne de 9 milliards de dollars par jour sur les 16 mois suivant le début de la crise du covid. Les étrangers ne se bousculant plus vraiment pour être créanciers des USA, c’est donc la planche à billet US qui accélère désormais considérablement le rythme de cette vampirisation, surtout que l'inflation correspond à avoir plus de billet que d'or, en particulier depuis la fin accords de Bretton Woods qui échangeait le dollar contre l'or par corrélation comme il sera revu, puisque par la planche à billet le dollar peut acheter le monde entier. Or en attendant les nombreuses planches à billets ont produits des milliers de milliards de dollar et d'euros pour le système. Et en cas de crash, ce sont donc les citoyens US moyens qui en subiront directement les plus lourdes conséquences, car la caste mondialisée ultra riche détient souvent son argent dans les paradis ou plutôt enfers fiscaux, ce qui prouve l'organisation diabolique de ce système
Ainsi il est apparu une mafieuse féodalité financière synonyme d'autoritarisme immoral basé sur le monopole économique. En effet elle s'appuie sur l'ultra libéralisme mondialiste apportant l'indifférenciation des valeurs, la négation de la différence des sexes, le mépris de la différence des âges, et le mépris de la différence des cultures et donc des ethnies. C'est à dire que par une forme cachée de guerre hybride basée sur l'ultra libéralisme libertaire, l'anti-christianisme, l'hyper consommation, le Lgbtsime, la pornographique, l’obésité, le Big Pharma, l'avillissement moral, l'oppression financière, l'usure professionnelle et l'immigration de masse, ces ultra riches corrompus cherchent à perversement éteindre toute défense immunitaire populaire à leur domination, puisque effaçant sa meilleure arme qui est la piété noblement insoumise à la corruption. Il faut noter que cette guerre hybride peut ensuite être associée à la guerre sans contact, comme les Etats-unis ont provoqué un putsh suite à une révolution de couleur en Ukraine, ont pratiqué des guerres par procuration, ou ont bombardé avec constance des hôpitaux, des ponts, un train, deux bus, un pont de village, un jour de marché, de nombreuses de maisons, des casernes, des raffineries et des civils, dans l’intention de mettre la Serbie à genoux, dont pour faire changer ses dirigeants de l'époque par une manipulation de la contestation du peuple appauvri par ces bombardements, possiblement à travers des ONG sournoises. Les fortunes colossales impies actuelles suffisent de toute manière à faire comprendre la perversité oligarchique de notre système.
Or avec l’Agence américaine pour les projets de recherche avancée de défense (DARPA), cette guerre hybride oligarchique qui est apparue pour dominer le monde s'oriente souvent vers le concept de « guerre mosaïque (mosaic warfare) », dont le but est de multiplier les attaques politiques, informatiques, économiques, médiatiques, financières, terroristes, sanitaires et immigrationnistes, car utilisées séparément, elles seraient peu décisives, mais combinées et déployées simultanément, successivement, rapidement ou fréquemment, elles peuvent finir par épuiser et submerger les défenses adverses des nations et des peuples. Le cynisme politique de ce système occidental ose même très effrontément se couvrir de compassion à travers le wokisme.
En effet peut-on croire un seul instant à la volonté farouche de ces élites de lutter contre l’oppression, le terrorisme et la pauvreté, alors qu’ils s'en servent à l’extérieur (à l'étranger) pour leur propre compte, et à l’intérieur (dans leur propre nation) pour raffermir leur pouvoir, favoriser certains lobbies, diviser la population et garder à distance leur peuple suite à des lois liberticides. Surtout qu'elles tendent à criminaliser « préventivement » la réponse sociale devenant forcément violente face à leur politique souvent ultra libérale dévastatrice populairement. Il y a là un évident conflit d’extensions, comme on dit en informatique. C'est à dire que cette situation prouve d'elle-même sa duperie, dont à travers ses malhonnêtes buts convergents de domination.
Notre système médiatico-politique devenu partial, lobbyiste et corrompu est par conséquent très gravement défaillant. Il s'agit d'une lobbycratie composée des lobbies sioniste, franc-maçon, bancaire, commercialo-mondialiste, Lgbt, pharmaceutique, des armes. C'est à dire que cela favorise mafieusement leurs intérêts particuliers et non généraux, souvent par convergence malgré quelques affrontements. Il est intéressant de lire à ce sujet l'article « De la Révolution française au Covid, Petite histoire de manipulation du peuple. Partie 3 (L’essor de l’ingénierie sociale particulièrement pour développer le consumérisme) » à l'adresse https://lemediaen442.fr/de-la-revolution-francaise-au-covid-petite-histoire-de-manipulation-du-peuple-partie-3/
D'ailleurs il faut remarquer que comme par rapport au système corrompu actuel, les mafias se développent quand il y a peu ou de moins en moins de culture, de services publics, de méritocratie authentique et surtout de monothéisme véritable répandus au sein de la société.
Ainsi les gouvernements, les fonctionnaires et les services publiques doivent incarner l'intérêt général et non des intérêts particuliers comme lors aussi du nazisme ou du communisme, qui furent tout deux du socialisme totalitaire que le libéralisme américano-sioniste totalitaire a organisé puis vaincu pour devenir hégémonique. Or à notre époque, les membres de nos bureaucraties doivent comprendre que tôt ou tard, ils n'échapperont pas non plus aux poursuites comme lors du tribunal de Nurembeg.
Surtout que la désinformation et les mensonges du système deviennent encore plus nocifs, car pour survivre, il doit de plus en plus « éliminer (écarter) » de ses médias dominants, de la politique et de l'économie, le nombre croissant des nombreuses personnes qui ont décrypté son illégitimité évidente. Parmi les désinformations les plus condamnables sont l’occultation ou le mensonge par omission empêchant la justice. La désinformation sur le terrorisme peut aussi être vue à travers son attribution perverse par des politiciens sionistes à la résistance palestinienne luttant pourtant légitimement à l’oppression, à la colonisation et aux tueries de l’État raciste israélien. Pour parvenir à autant de manipulation par ce gros niveau de propagande devenant sournoisement de l'endoctrinement, ce système a donc d'abord acheté les personnes politiques puis les grands médias. Car dans la prétendue ou plutôt donc la pseudo France des droits de l'homme et de la liberté d’expression, cela lui permet d'interdire l'antenne à certains dissidents voire simplement à des voix dissonantes ou de se servir de la technique journalistique de noyade d’un invité contradicteur pour le discréditer,c'est à dire par de nombreuses questions rapides parfois sans rapport et souvent suite à des coupures fréquentes de paroles ou en parlant en même temps que lui. Ce qui est qualifiable de terrorisme intellectuel abjecte, car envers tous ceux qui ne correspondent pas au socle idéologique du système corrompu et envers la plus dangereuse des armes pour une tyrannie qui est la vérité ainsi que la promotion du partenariat voire de l'amitié dans le bien commun. Ainsi généralement, celui qui est du côté de l’information reste calme, et ce sont les défenseurs de la désinformation ou de la propagande qui s’énervent, deviennent agressifs et idiots, puisqu’ils défendent le mensonge, l’indéfendable. En effet ils s’enfoncent dans le déni et finissent par attaquer ceux les dérangeant à travers le champ émotionnel, surtout que désormais ils font partie des comploteurs en étant sous le financement et donc l'influence de huit milliardaires, et ils veulent donc faire taire les complotistes qui ont raison. Cette très basse technique de faire perdre les repères intellectuels d'une personne se voit également à travers les nombreuses infos, les nombreux nouveaux mots, les nombreux ordres et contre-ordres et même des discours paradoxaux pour sidérer puis noyer le citoyen, sa logique et sa raison. La méthode de gouvernement utilisée n’est pas sans rappeler les techniques utilisées par la CIA pour le contrôle mental (projet MK Ultra) consistant à créer un climat de terreur permanent et généralisé (la crainte du virus) pour ensuite se montrer partiellement clément et finalement, dans un troisième et dernier temps, punir sévèrement les victimes ciblées. Le « en même temps » gouvernemental souvent alterné tend aussi à un stress maximal qui allié à la folie Lgbt et à l'état d'urgence (à cause du terrorisme, du covid, de la guerre en Palestine et de la guerre en Ukraine) et donc à l'état d'exception permanent permettant la suspension de l'état de droit, parvient comme dernières limites à tenir le peuple, au profit de ce système oligarchique et totalitaire se servant du privé pour donc maîtriser l'appareil d'état contre le peuple et les dissidents. L’objectif de ces manœuvres frauduleuses est de générer sidération, confusion et culpabilisation au sein des populations, de sorte qu’elles deviennent incapables de réactions, que leurs velléités d’auto-défense soient définitivement neutralisées. (Il faut ajouter pour une vue exhaustive de la situation, que le gouvernement utilise à nouveau la délation comme mode de gouvernement ; ce qui n’est pas sans rappeler les techniques de gestion du peuple français sous occupation nazie.) En effet tout état d'urgence permanent associé à de fréquentes nouvelles mesures votées et mises en place rapidement empêche la réflexion prenant par essence du temps, ce qui bloque ainsi oppressément diverses analyses et nuances normalement importantes pour le peuple dans le débat et la réalité. Et c'est pourquoi l'éventuel meilleur futur médical du groupe témoin des non-vaccinés est craint par le système.
De même l'enchaînement des crises de la finance, du climat, du terrorisme, du covid, de la guerre, de l'inflation, de l'énergie et des pénuries déstabilise le peuple, alors que la stabilité est importante pour la sérénité, le développement et la clairvoyance humains. De plus le transsexualisme et la théorie du genre participent aussi à embrouiller la raison, puisqu'ils représentent clairement la fusion-confusion du système cherchant à faire perdre tout repère et à orienter perversement tout humain pour le soumettre plus facilement. La succession de mensonges et de vérités assénés par le gouvernement décourage également la réflexion ou la motivation.
« On sait, en effet, que la propagande totalitaire n’a pas besoin de convaincre pour réussir et même que ce n’est pas là son but. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge. Le but de la propagande est d’obtenir des individus qu’ils renoncent à la contredire, qu’ils n’y songent même plus. Cet intéressant résultat, l’abasourdissement médiatique l’obtient très naturellement par le moyen de ses mensonges incohérents, péremptoires et changeants, de ses révélations fracassantes et sans suite, de sa confusion bruyante de tous les instants. Cependant, si chacun, là où il se trouve, avec ses moyens et en temps utile, s’appliquait à faire valoir les droits de la vérité en dénonçant ce qu’il sait être une falsification, sans doute l’air du temps serait-il un peu plus respirable. » (Georges Orwell)
Les médias et les politiciens dérangés par des prises de positions divergentes aux leurs trouveront aussi toujours un prétexte pour les stigmatiser. C’est ce qu’on appelle la technique de l’épouvantail : attaquer sur la forme plutôt que sur le fond. Dans ce sens oppressif, le harcèlement par des questions rapides à tout opposant au système sert aussi à casser sa dynamique et sa cohérence, surtout quand elles sont associées à des questions se détournant des sujets concernés et des informations dissidentes importantes pour le faire manquer de temps ou chercher à le décrédibiliser voire le culpabiliser. Ce type d'émission en apparence démocratique n'est donc qu'une mécanique d’extinction de voix dissonante, surtout que ces émissions sont de plus en plus discourtoises voire brutales.
« (Dans les médias mainstream) Nous nous inscrivons dans une logique spectaculaire en vertu de laquelle tout ce qui n’est pas montré n’existe pas. Et comme à l’heure actuelle, de nombreuses alternatives aux médias traditionnels apportent la visibilité nécessaire à certains groupes dissidents, nos gouvernants ont, à cet effet, mis en œuvre des stratégies adaptées pour détruire ces derniers. Il s’agit ici de décrédibiliser les individus qui les composent afin de les stigmatiser. Certaines techniques d’ingénierie sociale aboutissent à une horizontalisation du conflit. C'est à dire que les victimes de la narration officielle deviennent alors oppresseurs et la gouvernance n’a plus qu’à observer. Ce qui a pour effet d’entraver les mécanismes de construction des groupes, et de contribuer à communautariser les mouvements dissidents pour mieux les stigmatiser. Dans ce sens tyrannique, la gouvernance peut également produire et soutenir ses propres communautés contrôlées qui sèmeront le chaos et la terreur de façon spectaculaire afin d’être amalgamées avec les réels contestataires, ôtant à ces derniers la possibilité de se constituer en corps social. Les mouvements antifas d’extrême gauche entrent dans cette catégorie. Nous empêcher de nous fédérer pour nous exprimer est l’un des objectifs principaux d’une gouvernance non démocratique. Par ailleurs, le travail de sape qui consiste à isoler les individus ne date pas d’hier, car pour faire disparaître un groupe, il faut effacer la personnalité de l’individu. Dans un monde de plus en plus porté sur la virtualisation, la prééminence du « moi » et la quête d’admiration, il devient de plus en plus facile de briser les effets de la dynamique de groupe. Enfin, l’augmentation souhaitée et contrôlée de la précarité sociale, économique et intellectuelle constitue le terreau propice à une société individualiste, rendue docile à souhait par sa propre incapacité à s’inscrire dans une action collective. À l’avenir, si nous demeurons illusionnés, nous accepterons l’inacceptable sans même en avoir conscience, c’est orwellien. Ainsi le « tout sécuritaire », le « tout sanitaire » ou le « tout environnemental » sont les outils utiles de la gouvernance à la construction d’un régime totalitaire de contrôle permanent sous couvert de bienveillance. Ce détournement machiavélique de la bienveillance relève évidemment la stratégie du pompier pyromane. » (Passage de l'article de François Dubois (vice-président de l'Association Professionnelle Gendarmerie, un « ancien gradé » qui a « quitté l'institution » suite à des « divergences avec sa hiérarchie, notamment sur la politique vaccinale ») « Macron est animé par un idéal messianique en lien avec la gouvernance mondiale » à l'adresse https://lemediaen442.fr/francois-dubois-macron-est-anime-par-un-ideal-messianique-en-lien-avec-la-gouvernance-mondiale/)
D'autre part à la différence du journaliste Carlson qui s'est professionnellement entretenu avec le Président russe Poutine sans expliquer ensuite aux téléspectateurs ce qu’il faut comprendre, la plupart des journalistes mainstream disent ensuite aux téléspectateurs ce qu’ils doivent comprendre derrière ce qu’ils ont entendu, et donc comment ils doivent s’aligner...
Par ailleurs les grands médias du système cherche souvent à faire croire que 80 % du peuple pense d'une certaine manière pour orienter l'opinion publique, dont en créant de faux sondages, en établissant des débats abêtissant qui opposent des virulentes personnes fermées à la contradiction ou à la recherche de compréhension même historique, et en invitant d'agressifs hommes limités intellectuellement pour ridiculiser et donc discréditer son camp, surtout quand c'est face à une élégante et intelligente (voire simplette) femme par essence faible (ou face un homme s'exprimant correctement). C'est à dire que dans une forme de disproportion, le système arrive à convaincre les gens par leurs propres intuitions, d'autant plus que pour canaliser l'opinion les services utilisent souvent donc des polémistes. D'ailleurs la surmédiatisation de certains faits divers à des fins de manipulations (dont les agressions provenant de l'immigration ou de l'extrême droite pour diviser la société française) y participe aussi beaucoup.
Par occultation ou pseudo prétexte inversant la nécessité de défense, ces médias et politiciens vont jusqu'à honteusement faire commencer la guerre en Ukraine à cause de la Russie et non à cause des 8 ans de bombardements ukrainien sur le Donbass que Zelensky prévoyait ensuite d’écrabouiller militairement, ni de l'extension à outrance de l'OTAN, celle à Gaza à cause du 7 octobre et non à cause des agressions israéliennes répétées, des territoires occupés, de la politique de colonisation et de la politique ethnique, et celle avec l'Iran à cause de son attaque contre le territoire israélien n'ayant pas causé de morts et non à cause de la destruction du consulat iranien par Israël en Syrie ayant causé de nombreux morts. Ils vont même jusqu'à qualifier de pro-russe, tout gouvernement défendant sa souveraineté nationale, dont celui de Trump.
Des sujets comme le patriotisme authentique sont donc aussi écartés ou peu élevés. Le patriotisme en France est persécuté, parce qu’il constitue une résistance à l’entreprise de démoralisation mondialiste. En Russie, le patriotisme est au pouvoir, et ça change tout. Si la Russie est en guerre aujourd’hui, c'est parce que le patriotisme ne rime pas avec agressivité, mais avec défense : défense de son territoire historique, bien sûr, mais aussi de ses valeurs, les valeurs chrétiennes que l’Europe a oubliées.
De plus, des tactiques journalistiques empêchant le réveil des gens tendent vers un effet de distraction par la diffusion de nouvelles non pertinentes, ou idiotes (rapports concernant la famille royale britannique, ragots, etc), ou annonciatrices de peur et de malaise (racisme généralisé, résurgences imaginaires du fascisme, homophobies diverses, persécution des migrants, etc), car cela permet aussi la dissimulation de bonnes informations ou critiques contre le système. Un des nombreux travers de la presse mainstream, c’est aussi de minimiser les événements importants affaiblissant le système, et de maximiser les événements futiles voire affaiblir les mouvements populaires dont par des rumeurs. C’est le temps qui finit par renverser ces perspectives populaires, mais la progressive prise de conscience populaire se fait de plus en plus rapidement, en particulier chez les jeunes ne se servant pas des réseaux sociaux et d'internet seulement comme de la distraction. Sinon certaines analyses populaires correctes peuvent même sans aucun scrupule être censurées ou considérées comme des fake news. Surtout que via ces médias dominants honteusement soumis, le système ose en plus promotionner la loi sur les fake news apportant de la méfiance du peuple envers toute nouvelle idée et donc pensée, d'autant plus que même s'il est juste de prévenir les gens des mauvaises influences, il faut d'abord se méfier de ceux qui disent de nous méfier, en particulier quand ils se victimisent alors qu'ils sont loin d'être irréprochables mais plutôt la source principale de mensonge. Ainsi pour comprendre toute cette perversion journalistique du système, il est intéressant de lire à ce sujet la charte de Munich de 1971 concernant normalement le journalisme intègre à l'adresse https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_Munich
La fake news est même devenue le moyen de décrédibiliser toute information qui viendrait contredire la version médiatique. En effet après la crise des subprimes, les critiques des journalistes mainstream ont été si fortes contre le système que les oligarchies ont décidé de racheter tous les grands médias. Les médias mainstream ne font donc plus de l’information impartiale mais bien de la propagande partiale du système corrompu, surtout que ce sont principalement eux qui se servent de fake news.
« Les individus dotés d’une mémoire encore vivace se rappelleront assurément des innombrables platitudes antirusses débitées sur les plateaux de télévision, ces autels de la sottise où défilaient des prétendus experts militaires métamorphosés en oracles de la propagande ukrainienne :
- Les Russes utilisent des casques de 1960, parce qu’ils n’arrivent pas à en produire de nouveaux.
- Ils utilisent des puces de machines à laver pour leurs missiles.
- Leurs chars sont des versions modernisés d’un modèle de 1937.
- La qualité des armes russes est un mythe.
Cependant, ces génies de l’opinion préfabriquée échouaient lamentablement à expliquer pour quelles raisons obscures, compte tenu de l’intrinsèque faiblesse et du niveau élevé d’arriération attribué aux Russes, nous devrions éprouver de la crainte à leur égard. l’Ukraine, une nation environ quinze fois moins peuplée que les États-Unis, a vu périr en moins de deux années de conflit environ cinq fois plus de soldats que les États-Unis en seize années de combat au Vietnam. Et cela, malgré – ou peut-être à cause de – l’armement et la formation « made in OTAN ». On ose à peine imaginer les contours de ce conflit si la Russie n’était pas perçue comme « arriérée » par certains. » (Fernand le Béréen)